MARIONNETTES

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Tarif C : 5 €
Mobilité douce* : 4 €
Dès 8 ans
50 min.


NUISIBLES

COMPAGNIE ALULA

Ça grouille, ça rampe et ça frétille !

À hauteur des brins d’herbe, un monde méconnu s’anime : les insectes communs. Par la magie du théâtre, ces petites créatures se dévoilent en grand. L’araignée tisse sa toile avec élégance, le scarabée roule sa boule de bouse guidé par les étoiles, la chenille se prépare à devenir papillon, et la guêpe veille sur ses larves curieuses. Mais ce monde vibrant pourrait bientôt disparaître…

Une invitation poétique à découvrir et à protéger ces êtres minuscules qui partagent notre terre.

Mise en scène : Muriel Clairembourg, Catherine Wilkin – Avec : Sandrine Bastin, Perrine Ledent, Chloé Struvay – Assistanat mise en scène : Margaux Van Audenrode, Naïma Triboulet – Marionnettes : Jean-Christophe Lefèvre, Annick Walachniewicz – Création lumière : Mathieu Houart – Création sonore : Laps Ensemble.

© Photo : Ger Spendel

Texte : Création collective. Collaboration à la création lumière : Dimitri Joukovsky. Scénographie : Sarah de Battice. Son : Jean Olikier, Lucas André. Régie : Mathieu Houart. Publication du texte aux éditions Les oiseaux de nuit, décembre 2023. Production : Compagnie Alula asbl. Production déléguée : INTI Théâtre asbl. Coproduction : La Coop asbl et ShelterProd – Le Sablier Centre National de la Marionnette en préparation, Ifs et Divessur-Mer – Pierre de Lune, Centre Scénique Jeunes publics de Bruxelles – Accès soirs, Scène Régionale Auvergne-Rhône-Alpes, Saisons culturelles de Riom. Soutien financier : Service du Théâtre de la Fédération Wallonie-Bruxelles – Bourse Rayonnement Wallonie, initiative du Gouvernement Wallon, opérée par St’art sa – Taxshelter.be, ING et Tax-shelter du gouvernement fédéral belge – Centre Culturel du Brabant wallon. Aide : Centre Culturel de Chênée – Théâtre de La Guimbarde – Centre Culturel de Waremme – Les Ateliers de la Colline – Compagnie Ar ts & Couleurs – Théâtre Le Moderne – Centre Culturel d’Engis – Théâtre La montagne magique – Centre Culturel de Braine l’Alleud – CTEJ – Les Chiroux, Centre culturel de Liège – Les ATI. Merci : Vincent Louwette – Stéphane Barthélemy – Marie Versé – David Cerfont.

Site de la compagnie

Le travail de construction des marionnettes d’insectes, réalisé avec brio par Jean-Christophe Lefèvre et Annick Walachniewicz, a exigé l’observation minutieuse de l’anatomie de ces êtres minuscules. Chaque articulation, chaque variation de couleur, chaque transparence est reproduite avec soin afin d’être le plus proche possible de la réalité microscopique.

D’ordinaire, nous les remarquons à peine, nous les écrasons, les bousculons sans même nous en rendre compte. Or le changement d’échelle opéré sublime le corps de l’insecte, nous amène à le considérer autrement. Un véritable tour de force !

La scénographie de Sarah de Battice consiste en sept éléments sur roulettes, formant, comme un puzzle, un grand plateau incliné. La matière couvrante, un tapis de mousse, est travaillée pour évoquer un paysage fonctionnant à la fois à échelle réelle et à échelle macro. L’enjeu étant que la végétation soit crédible en présence des marionnettistes mais aussi en présence d’insectes fortement grossis. Au fur et à mesure de l’histoire, le territoire des insectes rapetisse : les éléments sur roulettes s’arrachent du plateau qui se morcèle jusqu’à se réduire à peau de chagrin.

La lumière, créée par Dimitri Joukovsky, est à la fois dramaturgique, ludique et magique, elle creuse les aspérités du terrain, lui donne du volume. La nuit, précieuse aux insectes, fait briller les lucioles et le mystère. La lumière accompagne le rétrécissement de l’espace en resserrant la focale sur les éléments restants, et renforce par-là même la tension dramatique.

Le son est particulièrement travaillé. Le Laps Ensemble, mené par Claude Ledoux, allie instruments de musique et sons Laptop. Cette musique contemporaine approfondit les différentes ambiances, en imprime les couleurs. L’entièreté de la musique a été composée in situ par l’Ensemble, improvisant sur les tableaux, jusqu’à performer l’entièreté de la pièce.
Jean Olikier s’est lui concentré sur les ambiances sonores qui accompagnent les quatre morcèlements de territoire. Les sons de tronçonneuse, d’incendie, de marteaux-piqueurs permettent d’évoquer l’évènement sans pour autant le représenter, ce qui évite de le rendre trop anecdotique.

Découvrir les insectes autour de soi : les animaux de cette histoire sont exclusivement des espèces autochtones très courantes. Une façon d’aborder l’observation de ces êtres qui nous entourent, de les considérer et d’avoir envie d’en savoir plus.
Même si nous avons appris énormément de choses tout au long de sa création, nous n’avons pas la capacité de donner une suite entomologique au spectacle. En revanche, la compagnie a travaillé avec un animateur nature passionnant, Stéphane Barthélémy. Celui-ci peut, en aval du spectacle, proposer des animations autour des thématiques abordées, en partant des insectes qui vivent dans la cour, la plaine de jeu, le petit parc près de l’école, à la recherche du sauvage qui nous entoure…
Et pour les plus manuels : construire des insectes à base d’objets, déchets et matériaux naturels ramassés aux bords des chemins. Un atelier encadré par nos créateurs de marionnettes.

Extrait
Larve 1 : Avec l’araignée, on a découvert qu’on avait un ancêtre commun. Le trilobite.
Larve 2 : Ah oui ? l’espèce de cloporte des mers ?
Larve 1 : Oui.
Larve 2 : Mais alors, ça veut dire qu’on vient de la mer ?
Larve 1 : Oui.
Larve 2 : Et l’araignée aussi ?
Larve 1 : Ben oui…
Larve 2 : Les autres vivants aussi ? Les éléphants par exemple ? Les vers de terre ? Les humains ? Les orties ?
Larve 3 : Les trilobites, huhu…
Larve 1 : Ah oui, tous.
Larve 2 : Ah ouais… tous nés dans la même soupe ! Et même les cailloux, alors ?
Larve 1 : Ha, ça on sait pas tiens…

Le Monde du vivant, qui en fait partie ? : l’animal-humain n’est pas le centre du monde vivant.
Comme la larve de guêpe (dans l'extrait ci-dessus) s’interroger sur notre place dans le monde du vivant : en est-on le centre, comme certains le croient ? D’où vient cette croyance ?
Qui fait partie du vivant ? La plante ? La bactérie ? Le caillou ?

Que reste-t-il de sauvage autour de nous ?

En 2017, une douzaine de scientifiques publient un article qui ne laisse aucune place à l’ambiguïté : « En 27 ans, la biomasse totale des insectes volants a décliné de 75% dans les zones protégées d’Allemagne. » (PLOS One 12, n°10) : Quelles sont les causes de cette hécatombe ? Quelles en sont les conséquences ? Que peut-on faire ? La pression humaine sur l’habitat sauvage a des conséquences terribles sur la flore et la faune. Il existe des humains qui refusent que l’on se comporte ainsi, en connais-tu ? Quelles sont leurs actions ? En as-tu entendu parler ? Connais-tu les ZAD, les organisations qui luttent pour préserver les espaces naturels, Extinction Rebellion, les maisons de la nature…

Et in fine, LA question centrale : Qui est le véritable nuisible de cette histoire ?

Sandrine Bastin, formée au Conservatoire de Liège, a participé à de nombreux projets théâtraux pour diverse compagnies (Le Collectif Mensuel, la Compagnie Dérivation, les Ateliers de la Colline...). Sa participation en 2006 à un laboratoire autour du théâtre d'objet (Agnès Limbos /Cie Gare centrale) donne naissance à deux petites formes théâtrales et l'initie à la manipulation d'objets. Au Théâtre des 4 mains elle confirme son amour incontestable pour la manipulation de marionnettes. Elle crée en 2012 la Compagnie Alula avec sa comparse Perrine Ledent.

Perrine Ledent parcourt le théâtre jeune public depuis une vingtaine d’années. Elle a joué pour de nombreuses compagnies (la Guimbarde, le Tof Théâtre, la Cie Transhumance, le Théâtre des 4 Mains, …) et y a découvert l’art de la marionnette. Le piano, le chant, le clown, l’art de la fauconnerie sont autant de cordes à son arc. Parallèlement, elle anime depuis une dizaine d’années des ateliers de jeu d’acteurs pour enfants et adolescents afin d’enrichir sa démarche artistique. Elle crée en 2012 la Compagnie Alula avec sa comparse Sandrine Bastin.

Chloé Struvay a joué dans de nombreux théâtres belges (le Public, Le Parc, le Jean Vilar, …), pour de très nombreux metteurs en scène. Au cinéma, elle a également joué dans 46 xx de G. de Craene, Le passé devant nous de N. Teirlinck, les courts métrages dansés d’E. Depaule. En 2009, elle a été nominée aux Magritte du cinéma pour son rôle dans Maternelle de Philippe Blasband. Elle découvre la marionnette avec Sœurette et la fille de l’eau du Théâtre des 4 mains. Chloé a joué dans Poids plume et Bon débarras ! Elle collabore avec la Compagnie Alula depuis 2016.

Muriel Clairembourg, comédienne, metteuse en scène, danseuse et chorégraphe, a foulé les planches d’un nombre impressionnant de théâtres belges et étrangers. Elle a interprété des textes d’auteurs extrêmement différents tels que M. Maeterlinck, B.Brecht, E. Bond, L. Vielle, Molière… Depuis plusieurs années, elle met en scène diverses compagnies amateurs et professionnelles et anime des ateliers de théâtre. Elle a mis en scène plusieurs spectacles jeune public : Poids plume et Bon débarras ! pour la Cie Alula, Bientôt c’est dans longtemps pour la Cie Transhumance et Cîmes pour les Zerkiens, Les grands secrets ne se rangent pas dans de petits tiroirs de Berdache Production.  

Catherine Wilkin, comédienne, metteuse en scène, animatrice et autrice, Catherine Wilkin est for- mée au Conservatoire de Liège. Lauréate du Prix du Ministre de l’enseignement secondaire 2012 pour sa pièce « Personne ne bouge, Tout le monde descend ! », où elle est autrice, interprète et metteuse en scène. Avec Lara Persain, elle crée la compagnie Paulette Godart où elles co-écrivent et mettent en scène en 2019 le projet Où est Alice ? au Théâtre de Liège. 2024 verra la finalisation de son projet « Pepi » dont elle est autrice et interprète. Depuis 2019, elle a rejoint l’équipe Voix De Femmes en tant que chargée de projet socio-artistique. Elle est également professeure d’expression artistique à l’ESAS Helmo.

Margaux Van Audenrode, diplômée de l'IHECS, réalise un master en Arts du Spectacle, spécialisation mise en scène, au CET de Louvain-la-Neuve. Elle réalise son mémoire sur la question du théâtre jeune public au Burkina Faso, pays où elle s’investit pendant plusieurs années dans de nombreux projets culturels. Elle collabore ensuite avec diverses compagnies belges (Tof Théâtre, Théâtre de la Guimbarde, Théâtre des 4 Mains, Cie Alula,..), endossant plusieurs casquettes qui la forment à différents métiers du spectacle (animation, diffusion, production, assistanat mise en scène). Elle crée en 2012 La Compagnie du Milieu du Monde. Elle a été la chargée de diffusion d’Alula de 2014 à 2022.  

Jean-Christophe Lefèvre et Annick Walachniewicz sont actifs dans le monde théâtral depuis plus de 35 ans. Elle en tant que scénographe et lui comme touche-à-tout un peu « ovniesque » de la marionnette. Ensemble, ils ont créé Canard Noir & Co en 1996 et ont rejoint le Théâtre des 4 Mains en tant que seconde équipe de création pendant plus de dix ans. Cinq spectacles sont sortis de leurs tiroirs. Jean-Christophe, déjà créateur de marionnettes et comédien-marionnettiste depuis 1985, a depuis conçu et fabriqué les marionnettes de Poids Plume, et de Sur la Corde Raide pour la compagnie Arts et Couleurs. Pour BonDébarras!, ils reforment la bonne vieille équipe et réunissent leurs savoirs et leurs aspirations pour frapper fort : créer 9 marionnettes expressives, robustes et sophistiquées. Par ailleurs, Annick écrit et a publié dernièrement son premier roman, Ilneportaitpasdechandail. Jean-Christophe continue ses recherches de perfectionnement en fabrication et, en tant que musicien, compose et chante dans le trio vocal a cappella Piperlééé !

Sarah de Battice obtient son diplôme avec grande distinction en 2007, à la Cambre. Depuis, elle ne cesse de travailler pour différents théâtres (Théâtre National, Le Varia, Théâtre de Namur, …) et compagnies (Compagnie Arsenic, Cie Arts et Couleur, le Zététique …). Elle fonde la Cie Dérivation avec Sofia Betz, et signe la plupart de ses créations (Atti, Les Derniers Géants, La Princesse au petit pois, Odyssée, Roméo et Juliette, Chroniques Martiennes, King Arthur… ). Elle rejoint l’équipe de la Cie Alula en 2012 et crée les scénographies de Poids plume et Bon débarras ! Elle compte parmi les scénographes les plus remarquables de sa génération.

Dimitri Joukovsky est une référence en matière d'éclairage dans le théâtre jeune public. Diplômé de l'INFAC en scénographie/ régie, il parfait sa formation comme éclairagiste-régisseur au sein du Tof Théâtre durant une quinzaine d'années. Ce qui ne l'empêche pas d'œuvrer en parallèle pour d'autres compagnies (Cie Gare Centrale, Cie Karyatides, Théâtre Mâat, Cie Les Nuits claires…). Sans pour autant s'y cantonner, sa très longue expérience au sein du Tof théâtre lui confère une sensibilité toute particulière dans la création d'éclairages pour spectacles de marionnettes. Pour Alula, son excellent travail des lumières met particulièrement en valeur les volumes, la beauté des marionnettes et la structure scénographique.

Claude Ledoux, pianiste, titulaire d’un prix de direction d’orchestre, il fut Directeur du Centre de Recherches musicales - Studios de musique électronique de Liège (aujourd'hui Centre Pousseur) - et Directeur Artistique du Festival Ars Musica. En 2013, il a co-fondé le LAPS Ensemble (formation originale mixant laptops et instruments amplifiés pour laquelle il a écrit trois pièces à ce jour). Il en est actuellement le Directeur artistique et musical. Conférencier et auteur de nombreux articles sur la création musicale, professeur d’Analyse Théorique et Appliquée au Conservatoire de Paris (CNSMDP) et de Composition au Conservatoire Royal de Mons/Arts2 (Belgique), il a aussi enseigné ces matières lors de séminaires donnés aux Universités de Campinas et de Sao-Paulo, ainsi qu'aux cours d'hiver de Campos do Jordao (Brésil - 2008/09). Depuis, 2005, il est membre de l’Académie Royale de Belgique.  

Jean Olikier est sorti de l'IAD en 2010. Il a commencé par faire ses armes dans le milieu de la télé en post-production son (montage, mixage, sound-design). Il développe ensuite une grande motivation pour les tournages de toutes sortes (émissions télé et radio, documentaires, capsules humoristiques, petites fictions...) Il a travaillé pour de nombreuses sociétés belges et internationales telles que ProximusTV, RTBF, RTL, NEPFinland, WRCTV etc… Dernièrement il s'intéresse de plus prêt à la création sonore dans le milieu du théâtre et c'est avec un enthousiasme non-dissimulé qu'il rejoint la compagnie en donnant un coup de fader pour le remaniement du spectacle.  

Compagnie Alula

Alula (n.f.) : partie du plumage de l’aile de l’oiseau, formée de petites plumes asymétriques, permettant de planer à faible vitesse en toute sécurité.

Perrine Ledent - la reine de l'organisation, la patience incarnée, la dompteuse de grilles Excel, le sourire ravageur, le moteur diesel, l'élégance bruxelloise. et Sandrine Bastin - la référence pédagogique, la chineuse de Saint Pholien, la meilleure idée convaincue, la boîte de vitesse bloquée en 7ème, la pointilleuse acharnée, la liégeoise et fîr di l'esse. …se sont rencontrées sur les planches, dans un petit village au coeur du pays wallon. Après avoir sillonné la Belgique avec les marionnettes de Madame Sonnette, elles ont décidé de continuer l'aventure à deux ! Une nouvelle compagnie jeune public est née : la Cie Alula.

Chacune, armée de ses talents, joue à l’équilibriste pour que la fragile alchimie de la création se fasse. Elles s’entourent d’une tripotée d’artistes passionnants et passionnés : de la mise en scène aux lumières, du son à la scénographie, de la construction des marionnettes à la diffusion, chacun déploie son art avec amour et virtuosité !

Leurs spectacles parlent de ce qui les touche, les rassemble, les éloigne. Elles puisent dans leur intimité pour en sortir l’universel, s’attachant à explorer des thèmes qui leurs sont chers : la force fragile des liens tissés dès l’enfance, la complexité des logiques et des contradictions qui hantent l’être humain, et surtout sa capacité à transcender la réalité par l’imaginaire. Tout cela à travers une écriture marionnettique, contemporaine et collective.

Les spectacles Poids Plume et Bon débarras ! ont été sélectionnés pour être joués au Théâtre des Doms durant le Festival d’Avignon en 2014 et 2018. Bon débarras ! a reçu le *Prix du Kiwanis décerné par la presse* et le *Prix de la ministre de l’Enseignement fondamental, Marie-Martine Schyns* lors des Rencontres de Théâtre Jeune Public de Huy 2017

« Avec humour, ingéniosité et dextérité, trois comédiennes-manipulatrices nous font pénétrer dans un bout de nature où se côtoient punaises, mouches, araignées. Comique d’entendre le bousier souhaitant s’appeler « musclor » ou les fourmis se vanter de transporter plus de vingt fois leur poids ! Un spectacle visuellement fascinant et scientifiquement stimulant. » Les parents à l’école

« Dans Nuisibles, on ne verra pas d'insectes rendus artificiellement mignons ou monstrueux : les - magnifiques - marionnettes ont été voulues "les plus réalistes possible. » Symbioses « Dans le spectacle, les bestioles sont dotées de la parole. Mine de rien, au travers de leurs propos poético-philosophiques, rigolos ou plutôt scientifiques, on en apprend pas mal sur les insectes, leur cycle de vie, leurs prouesses et surtout leurs liens d'interdépendance avec les autres vivants. » Symbioses

« Cette fable naturaliste et haute en couleur lorgne du côté de la pensée du vivant développée par la philosophe Vinciane Despret. Elle incite petits (à partir de 8 ans) et grands à s'émerveiller devant la diversité des êtres vivants qui peuplent la nature et à s'interroger sur sa préservation. » Le Monde

« Les impressionnantes marionnettes construites par Jean-Christophe Lefèvre et Annick Walachniewicz, fidèles collaborateurs de la compagnie Aula, restituent avec minutie la morphologie de chaque espèce. » Scèneweb.fr