THÉÂTRE, IMAGES ANIMÉES
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Tarif C : 5 €
Mobilité douce* : 4 €
Dès 2 ans
25 min.
Qu’est ce qui se cache derrière l’obscurité ?
Il fait nuit dans cette drôle de ville sous la mer… mais Daniel, un jeune calamar impatient, a décidé que c’en était fini du sommeil ! Armé de sa lampe de poche magique, il réveille tout le monde et embarque petits et grands dans une aventure pleine de lumière, de surprises et de fenêtres ouvertes sur l’imaginaire.
Un spectacle comme un grand cherche-et-trouve sous-marin, qui parle en douceur du moment où les petits commencent à grandir… et à suivre le rythme du monde.
Mise en scène, écriture et vidéo : Timo Hateau – Écrit et imaginé avec Carmela Chergui – Comédien : Vincent Lahens – Création lumière : Fethi Tounsi – Création sonore : Funken – Concepteur logiciels : Philippe Montemont – Construction décors : Coline Hateau.
© Photo : La Rotule
Production : Compagnie La Rotule. Spectacle soutenu et coproduit par : Lauréat du dispositif COOP : Oblique/s (arts et cultures numériques en Normandie), Théâtre L’Éclat - Festival Noob - scène conventionnée d’Intérêt National Art Enfance Jeunesse - Pont-Audemer, Le Sablier - Centre national de la marionnette en préparation - Ifs et Dives-sur-Mer, Espace Jéliote - Centre National de la Marionnette en préparation - Oloron-Sainte-Marie, Théâtre Ducourneau - scène conventionnée Jeunesses d’Agen, Le ScénOgraph – SCIN Art & Création, Art en Territoire - Saint-Céré. Avec la participation du Dicréam. Avec le soutien de : L’Arsenic à Gindou, L’Astrolabe du Grand Figeac, L’auditorium Sophie Dessus de la ville d’Uzerche, Le Théâtre Municipal de Cahors, La Halle Culturelle à Limogne-en-Quercy, La Région Occitanie, Le Département du Lot, La Communauté de Communes du Pays de Lalbenque-Limogne en Quercy, la Commune de Concots. Avec la participation de la DICRéAM.
La compagnie la Rotule et moi-même sommes heureux de vous présenter le projet de spectacle Daniel dans la Nuit, spectacle à destination de l’enfance et de la jeunesse, construit autour des nouvelles écritures et des écritures du numérique.
Carmela Chergui et moi nous sommes beaucoup amusés à écrire ce spectacle à la manière d’un livre jeunesse. Il raconte l’histoire de Daniel, un petit calmar qui agace son entourage en refusant de retourner se coucher au beau milieu de la nuit. On le suit, on le cherche et on l’accompagne parfois jusqu’à ce qu’il finisse par se rendormir - à la fin du spectacle - après avoir réveillé toute la cité sous-marine qui l’entoure. Ce spectacle traite ainsi du rythme biologique du petit enfant qui grandit et plus précisément de ce moment charnière où c’est à lui de s’adapter au rythme de ses parents ... et plus l’inverse.
Ce spectacle est imaginé comme un Cherche & trouve, un livre dans lequel l’enfant recherche des éléments de récit, un personnage par exemple, à l’aide le plus souvent d’une petite loupe ou d’une lampe qui révèle des éléments cachés dans les pages du livre. Ici, c’est le comédien qui joue le rôle du narrateur, qui «tourne les pages» et qui révèle ce qu’on ne voit pas dans un premier temps.
Il circule dans une forêt d’écrans aux formes simples et douces sur lesquelles sont projetées en film d’animation les façades des immeubles de notre cité sous-marine. A l’aide d’une lampe de poche magique, il fait apparaître l’intérieur des bâtiments, où Daniel chemine au milieu de ses voisins et d’une multitude de détails.
Le comédien tisse alors un lien entre l’image animée, le conte, la musique contemporaine concrète spatialisée et englobante, et une lumière vivante. Le tout se met au service d’une approche interactive et collaborative, une expérience sensible et novatrice.
Dès le début, (finaliste du dispositif La Couveuse 2021) ce spectacle a reçu un bon accueil, et constituer l’équipe qui allait fabriquer Daniel dans la Nuit à été un vrai plaisir. Philippe Montemont, qui est une référence dans la conception de systèmes multimédia numériques et interactifs pour le spectacle vivant, a tout de suite répondu présent et s’investit depuis dans le projet. C’est grâce à lui et à Julien Sénélas que nous concevons des logiciels spécifiques et inédits permettant d’agir en direct sur les apparitions vidéos et sonores : nous créons du spectacle vivant et tout l’enjeu ici, c’est que la technique réponde précisément à la narration. Pas l’inverse.
Tout au long de la nuit l’ambiance sonore et lumineuse recrée l’éveil de la cité. Les sons des machines à café et des radios lointaines remplacent le silence apparent des abysses. Les bleus profonds prennent la teinte de l’aube avec des jeux de rais lumineuse aquatiques. À travers chaque fenêtre, dans chaque façade, des choses s’agitent à l’intérieur des appartements. On se réveille, on entame la journée.
Tout l’enjeu de cette mise en scène, c’est de garder une apparente simplicité, quelque chose d’épuré, des formes et une ambiance douce pour accompagner le tout petit dans ce voyage nocturne. La complexité technique, l’ambition de la mise en scène s’effacent derrière le récit, au profit de la magie et de la poésie de cette aventure.
Timo Hateau
Daniel, un petit calamar, se réveille trop tôt et dérange tout le village avant de se rendormir à l’aube. Le narrateur sur scène et le jeune spectateur vont suivre son parcours, l’aider et l’aiguiller dans un décor fait d’écrans et de vidéos.
Quand Daniel, le petit calamar, se réveille, il fait encore nuit noire. Tout le monde dort autour de lui, et tout est silencieux. Pourtant, Daniel trouve qu’il s’est déjà bien assez reposé, qu’il est temps de démarrer la journée, ainsi que celle de tout son entourage.
Il tente de sortir son père du sommeil, mais ce dernier le rabroue en grognant et le renvoie se coucher. Le petit calamar se rend alors successivement chez différents habitants du récif corallien et se fait toujours congédier chez un autre voisin. Chaque refus, « Il fait nuit Daniel! Retourne te coucher! » devient de plus en plus drôle parce que le petit céphalopode surenchérit dans son argumentation, en tentant de prouver à tout le monde que c’est le matin.
Si Daniel pense que tout le monde se rendort, on voit que les différents protagonistes qu’il a dérangé peinent à finir leur nuit. Et au fur et à mesure que la lumière se fait, tout s’anime lentement, comme dans une ville. Lorsque tout le monde est enfin réveillé et qu’il fait jour, Daniel s’est assoupi.
Daniel dans la nuit nous parle, d’une part, de ce pivot de la croissance qu’est l’harmonisation du cycle biologique de l’enfant avec celui de son entourage. Dans cette période où le cercle familial estime que ce n’est plus à lui de s’adapter au sommeil de l’enfant mais le contraire, on pose les bases d’un quotidien pérenne, on apprend à vivre ensemble.
D’autre part, le spectacle est celui du jour qui se lève, en temps et en heure et non pas au rythme du protagoniste. L’aube apparaît, illuminant des zones d’ombres et faisant émerger une sorte de petite cité sous marine, un récif de corail urbain où s’agitent et circulent des groupes de mollusques, des algues, des bancs de poissons. On entend aussi peu à peu le récif s’animer des bruits du matin : des bulles, des véhicules, des machines à café, des réveils et bien sûr la radio. Tout prend vie. Embrasser l’aube, c’est aussi traverser la nuit. La volonté comique de Daniel à s’emparer du pouvoir de faire avancer le temps est avant tout l’expression masquée des petites angoisses nocturnes, de la solitude et de la peur du vide. Lorsque la journée commence enfin, apaisé et épuisé, il peut s’endormir.
Notre narrateur, au centre du dispositif scénique, raconte l’histoire en se promenant avec une lampe de poche entre des modules disposés sur scène. C’est cette lampe de poche «magique» qui fait apparaitre les images sur les modules, ou qui permet de voir à travers les façades des habitations. Il suit le petit calamar et éclaire peu à peu les éléments narratifs de l’histoire, en interaction avec son public qui lui indique les zones à éclairer, ou aide les personnages du récit en jouant avec des sons et des lumières. Ce sont les enfants, avec l’aide de notre narrateur, qui encouragent Daniel à se rendre chez les uns et les autres, ou qui crient pour l’empêcher de passer voir Lucio, le possion lanterne, qui lui en revanche, semble l’attendre.
De plus, ce dispositif nous rappelle au rituel de la lecture nocturne à la lampe de poche, qui circule entre les pages et focalise l’attention sur de nombreux détails de l’image. Mieux encore, il nous ramène à des temps plus anciens, évoque la lecture de ce public qui déchiffrait peut-être des récits à l’aide d’une torche enflammée, sur des parois irrégulières, comme le raconte Michel Geneste, archéologue spécialisé à l’étude des grottes ornées :
«Il faut s’imaginer des systèmes d’éclairage qui ne diffusaient pas à plus de quelques mètres une lueur fluctuante et vacillante (...) Bref on ne devait pas découvrir les fresques entières on devait les découvrir petit à petit et à ce moment là les structures narratives qu’elles portent. Et ces interactions entre les animaux, ces regards ces jeux entre les thèmes qui sont figurés devaient être découverts les uns après les autres et on à probablement là la place et le temps du discours qui accompagnait le regard des ces oeuvres parce qu’il ne faut pas oublier que ce sont des cultures de tradition orale».
Les thèmes abordés
- Le rythme biologique
- Les angoisses nocturnes
- Apprendre à vivre ensemble
- Grandir
- Cacher / dévoiler
EN RÉSUMÉ
C’est la nuit à Villeneuve-la-Roussette, petite bourgade sous-marine. Lorsque l’aurore viendra, nous assisterons à la naissance des bigorneaux luminescents, un évènement qui n’arrive qu’une fois par an. Mais le calme de cet instant magique va être troublé par le réveil précoce de Daniel, un jeune calamar qui a décidé que la nuit était terminée… À l’aide de sa lampe de poche qui permet de voir à travers les murs, l’hôte de cette visite nocturne guide le regard des jeunes spectateurs, et goûte avec eux, à l’énergie débordante de notre petit Daniel. Ce spectacle nous parle du rythme biologique du tout petit qui grandit et, plus précisément, de ce moment charnière où c’est à lui de s’adapter au rythme de ses parents ... et plus l’inverse. En racontant l’histoire, le comédien interprète les différents personnages, et nous révèle ce qu’on ne voit pas dans un premier temps. Il se promène dans une forêt d’écrans aux formes douces et épurées sur lesquelles sont projetées en film d’animation les façades des immeubles de notre cité sous-marine. Un spectacle bâti comme un cherche-et-trouve, mêlant théâtre, musique englobante et images animées.
Daniel
Daniel est un petit Calamar, on peut imaginer qu’il a deux ou trois ans. Il vit seul avec son père Dominique. Il n’est pas timide et n’a pas peur de parler aux adultes. Ces derniers temps, lorsqu’il se réveille la nuit, il aimerait aller se rassurer près de son papa comme il faisait quand il était plus petit, mais il grandit et il doit l’accepter même si ce n’est pas toujours facile. Son père préfère écouter les histoires de son petit calamar au petit déjeuner plutôt qu’au beau milieu de la nuit.
Dominique
Dominique élève son petit calamar seul, la mère de Daniel n’est plus là. C’est beaucoup de travail parce que Daniel est très énergique et lui en demande beaucoup. Heureusement, Dominique peut compter sur sa grande famille et surtout ses amis qui aiment accueillir Daniel chez eux. Notamment Olive et Hyppolite qui n’ont pas d’enfants et qui sont un peu comme la tata et le tonton de Daniel. Daniel les aime beaucoup.
Andrea
Andrea est une serpente de mer. Elle élève seule ses quatre serpenteaux. Elle est stricte mais pas méchante. Daniel est très ami avec les petits serpenteaux et il lui arrive de dormir chez eux. Andrea joue de la harpe formidablement bien, elle en joue pour endormir ses enfants. Elle aime aussi leur raconter des poèmes.
Hippolyte
Hippolyte est un vieux crabe grincheux, il vit avec sa compagne Olive depuis très longtemps. Il aime la tranquillité, les mots croisés et il aime cuisiner, notamment les patés d’algues aux moules qu’il réussit à merveille. Avec Olive ils aiment malgré tout accueillir le petit Daniel qui n’est pas calme du tout. Ils ont quelques jouets pour lui dans un coffre et ils lui préparent des petits quartiers de pomme des sables dont Daniel raffole.
Lucio
Lucio est un poisson lanterne : une Baudroie. Les enfants ont peur de lui parce qu’on raconte des choses fausses à son sujet. Pourquoi? Parce qu’il vit différemment des autres habitants du village : il est le gardien de Villeneuve- la-Roussette, il ne dort jamais la nuit, seulement le jour. Aussi, il fait peur avec sa grande bouche. C’est donc lui qui protège le village. Avec sa lampe, il guide les poissons qui pourraient se cogner aux maisons la nuit. Il a eu pleins de métiers et vécu beaucoup d’aventures qu’il aime raconter en boucle, parce qu’il perd un peu la tête.
Un récit soutenu par une mise en scène innovante.
Sous l’eau, la ville
Sur scène, une série d’écrans de diverses tailles constituent un récif, c’est la ville de Daniel : un univers utopique sous-marin très stylisé, urbain et coloré. Des formes simples aux lignes harmonieuses composent les différents modules. Les lignes et les palettes de couleurs évoquent par touches l’univers de certains designers scandinaves des années 50 ou encore du groupe Memphis. Cet agencement d’éléments est un dispositif scénique composé de structures en bois noble et d’écrans de tissu fabriqués en collaboration avec des artisans. Les enfants sont assis sur des coussins colorés posés sur un grand tapis tactile qui délimite l’espace des petits spectateurs. Le spectacle peut commencer.
L’aventure du vidéo-mapping
Chaque module est un écran de projection vidéo, un lieu d’habitat, la page d’un livre. Un comédien circule entre eux, c’est le narrateur de notre récit. Dans la pénombre au début du spectacle, c’est lui qui révèle les différents espaces avec sa lampe de poche, et enfin quand tout le monde est réveillé, il fait apparaitre le récif en entier dans un espace vivant et coloré. Cette fausse lampe de poche sert en fait à faire apparaître la vidéo en direct avec des systèmes de couches, de calques vidéo. C’est avec Philippe Montemont, spécialiste des dispositifs scéniques interactifs que nous développons les logiciels pour notre spectacle.
Interagir, participer
Dans ce spectacle, les enfants sont sollicités pour aider le comédien à retrouver et à guider le petit calamar dans sa quète à travers le grand décor, et un jeu de cache-cache s’installe, à la manière des livres-loupe et des «cherche et trouve». Alors que les plus grands (4-8 ans et +) réagissent et rentrent dans l’action, les plus petits sont souvent dans la contemplation. Le comédien s’adresse directement à eux, parfois de façon individuelle lorsqu’il s’agit des plus jeunes. Daniel dans la nuit s’adapte à l’âge de son auditoire. La proximité qu’entretiennent le décor, le narrateur et le public est essentielle. Grace à l’interaction, le spectateur se recentre sur le spectacle et se sent considéré, ayant aussi sa part dans la quête de Daniel. C’est aussi une manière d’impliquer autrement, d’emblée, les enfants dans leur relation aux images et aux écrans, pour les rendre actifs face à elles, et leur offrir, grâce à l’espace scénique, l’opportunité de prendre un recul nécessaire. Pour ce faire, notre narrateur utilise un outil précieux et magique : sa lampe de poche, qui éclaire les scènes en dessin animé et révèle la vidéo. Sur scène le narrateur circule donc entre les écrans, raconte l’histoire, passe entre les pages et les éclaire avec la lampe, (comme dans un lit, sous la couette). Il expose par bribes les modules, les illustrations, les animations. Comme quelqu’un qui lirait une histoire à un enfant le soir pour ’aider à s’endormir, le narrateur le fait participer en promenant son regard sur les pages, cherche les animaux, poursuit les intrigues. Et, lorsque le récif révèle les habitations des différents protagonistes du récit, la fausse lampe de poche traverse les murs et dévoile l’intérieur des appartements.
Tout est illuminé
La vidéo ayant une place importante dans cette création, la mise en lumière des différents espaces et de le narrateur est primordiale. Elle se doit d’être précise. Dans l’espace de jeu, nous allons établir differentes zones, une architecture rigoureuse avec des codes clairs: le dedans, le dehors, la peur, la fatigue etc. L’enjeu de la création lumière sera de délimiter les espaces et de leur imputer des couleurs cohérente, en adéquation avec le récit.
Du bruit à la musique
Dans une recherche d’experience sensible englobante, la spacialisation de l’univers sonore sera particulièrement prégnante. Une création moderne, pouvant se confondre avec les interventions «live» de la vidéo, des sonorités brutes, organiques et électroniques doivent servir l’univers de manière à le rendre immersif.
Toucher, découvrir
Pour le public, l’espace sera délimité par un très grand tapis tactile. Ce tapis va montrer à l’enfant l’endroit où il a le droit d’évoluer car le tout petit n’est pas statique devant un spectacle, et les plus grand ont besoin s’un cadre, d’une zone où se positionner face à la scène. Ce tapis va également jouer un rôle dans la capacité de l’enfant à se concentrer. Coline Hateau, qui interviendra dans la conception de ce tapis conçoit et réalise des tapis de lecture et des modules pédagogique à destination du jeune public depuis une douzaine d’année. Son travail se base sur les découvertes conjointes des neuroscientifiques et des psychomotriciens qui constatent que le jeune et le très jeune enfant a besoin du toucher pour se concentrer. Pour lui, l’écoute et le visuel sont «abstraits» et il a besoin de toucher avec les pieds, les mains et la bouche pour se concentrer. Ainsi, une histoire, un album ou autre sont pleinement appréciés par l’enfant s’il retrouve de façon tactile des éléments qu’il voit ou entend. Concernant Daniel dans la nuit, deux grand tapis rectangulaires (4mx5m) reprendront les formes des modules présents sur scène. Ces formes mélangeront des matières en surface avec divers tissus, toile cirée, etc. mais également en rembourrage avec des billes de polystyrène de différents diamètres, des plastiques, de la ouate, etc. Des excroissances rappelant les tentacules de Daniel ou des algues en relief seront encore des stimuli pour le jeune public.
Compagnie La Rotule
La Rotule est un regroupement d’artistes et de bricoleurs à voilure variable. Elle intervient sur des événements, des festivals, du spectacle vivant.
Historiquement, les membres de La Rotule se sont rencontré vers 2014, lors d’une Fête de la musique dans le Lot. Leur participation à cet événement a soudé un groupe qui depuis cherche sans cesse les occasions d’œuvrer ensemble.
La Rotule est encore jeune mais chaque membre de l’équipe a 15, 20, 25 ans d’expérience. Ce sont des professionnels du spectacle, de la création, de la mise en scène, de la scénographie, de l’événementiel… Des artistes et des techniciens compétents et expérimentés.
S’appuyant sur des membres se connaissant depuis de longues années et développant une esthétique commune, La Rotule peut créer et envisager des projets ambitieux et travaillés. Le but recherché étant d’offrir au public une expérience sensible, légère, profonde et unique.
Que ce soit dans ses spectacles ou dans ses scénographies, La Rotule touche le spectateur au plus près de ses émotions. La beauté, la poésie, l’émerveillement sont là mais aussi le rire et le second degré.
La compagnie et ses membres, sensibles à la lutte contre les VHSS, veille à ce que ses activités se déroulent dans la bienveillance, le respect et le fun.
« Un spectacle tendre et poétique qui ravira petits et grands dans la découverte du monde marin et de ses merveilles. » La dépêche
« Le spectacle est bâti comme un cherche-trouve qui mêle théâtre et images animées. Le comédien se promenant entre écrans et projections de films, dans le souci d’une approche interactive, sensible et immersive. » Sud Ouest