MUSIQUE MARIONNETTES
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LA PROGRAMMATION COMPLÈTE DU FESTIVAL !
Tarif C : 5 €
Mobilité douce* : 4 €
Dès 4 ans
40 min.
Bienvenue dans un monde miniature et merveilleux !
Au cœur de poches d’eau salée pleines de surprises, on perçoit quelques êtres vivants étonnants qui mènent leur vie loin des humains, entre bulles, algues farfelues et coquillages réinventés. Guidé par un bernard-l’ermite malicieux, on découvre cette faune marine étonnante dans une ambiance pop et colorée aux accents rétro.
Les anémones dansent et les berniques brillent : embarquement immédiat pour une odyssée sous-marine pleine de poésie !
Marionnettistes : Lucas Prieux ou Florence Garcia – Musique : Marc de Blanchard – Régie : Thomas Bloyet.
© Photo : Marc de Blanchard
Production : L’Armada Productions. Coproduction : Centre culturel Pôle Sud - Chartres-de-Bretagne, Théâtre L’Éclat - scène conventionnée Arts, Enfance, Jeunesse - Pont-Audemer, Centre culturel Le Cap - Plérin, Espace Jovence - Louvigné-du-Désert. Soutien : DRAC.
Coquille Diamant est la seconde création jeune public de Marc de Blanchard. Il s’agit d’un projet pluridisciplinaire qui mêle des compositions de musique électronique, de la marionnette et du mapping vidéo.
Marc de Blanchard explore avec magie et poésie le monde marin, ou plus précisément la faune cachée des mares résiduelles : ces petits plans d’eau qui subsistent à marée basse au creux des rochers. En leur sein, on découvre une vie bouillonnante, riche d’une multitude d’espèces insolites et méconnues. Un microcosme qui évolue loin du regard humain, composé de bulles, d’algues et de coquillages étonnants.
En jouant avec les échelles et en croisant les disciplines, Marc de Blanchard propose une vision très pop et fantastique de cette vie microscopique qui nous entoure. On s’émerveille dans cet univers multicolore et surprenant, incarné par des marionnettes à la morphologie étonnante : coquillages étincelants, anémone urticante, crustacés rouge fluo ou encore planctons bioluminescents. Les enfants suivent en particulier un petit être à l’apparence étrange, un bernard- l’hermite en quête d’un refuge. D’abord minuscule, le petit crustacé explore son environnement à la recherche d’une nouvelle coquille et évolue au contact d’espèces amicales, en s’alliant par exemple à une anémone, ou en évitant les prédateurs.
En plus des marionnettes, l’artiste intègre sur scène des projections visuelles en mapping vidéo pour recréer un environnement aquatique complet, qu’il accompagne de compositions musicales électroniques. Une bande son inspirée des films d’aventures ou du documentaire animalier qui joue sur les ambiances, tantôt apaisantes et planantes, tantôt joyeuses et dansantes.
Une aventure aquatique sur l’art de grandir, sur trouver sa place parmi les autres et rêver à une maison idéale !
MARIONNETTES
L’utilisation des marionnettes est apparue comme une évidence quand Marc de Blanchard s’est posé la question de faire sortir physiquement ses dessins de l’écran de projection. L’artiste a ressenti le besoin d’avoir des éléments physiques au plateau. Tout comme pour son dernier spectacle, AlloCosmosdans lequel intervient une danseuse, l’idée est d’être un duo sur scène, mais cette fois-ci, avec un marionnettiste.
Qu’allons-nous voir ?
· Deux personnages principaux sont incarnés par des marionnettes : un bernard-l’hermite et une anémone. Toutes deux sont construites en mousse et en tissu, manipulées en prise directe (avec les mains et les avant-bras).
· Le bernard-l’hermite existe en 2 versions : une version moyenne en volume et articulée (30 cm de longueur) et une grande version (1,50 m de longueur). Cette dernière version a des yeux très expressifs et mobiles pour lui donner un véritable regard et susciter l’empathie du public.
· L’anémone est munie de tentacules fluorescents qui sont mis en mouvement grâce à la main du marionnettiste, lui conférant également une expression, un regard. Elle pourra interagir avec le bernard-l’hermite une fois les deux animaux réunis.
· Des coquilles de différentes tailles, disposées sur scène, que la marionnette du bernard-l’hermite pourra essayer, ce qui permet de suivre avec lui la quête de sa nouvelle maison.
· Deux personnages secondaires sont présents physiquement sur scène : un poulpe et un oursin. Le poulpe apparaît seulement sous la forme d’un bras géant (2-3 m de long) et est manipulé par une longue perche et un fil. L’oursin se fond également dans le décor, il est plat (70 cm de diamètre) et circule sur scène de gauche à droite.
· De manière assumée, le manipulateur est à vue, mais en retrait et habillé en noir. Il constitue tout de même un personnage du spectacle, à mi-chemin entre le·a plongeur·euse et une créature marine humanoïde. Aucun personnage ne parlera, dans un souci de fidélité par rapport au réel. Le travail de manipulation est ponctué de mouvements précis, tantôt fluides, tantôt saccadés. La partition du marionnettiste est écrite de manière à lire les intentions et les émotions du personnage à travers son langage corporel. Certains codes du burlesque/cinéma muet (précision des regards, rythmique des réactions, double takes, regards public,...) seront repris.
MAPPING VIDÉO
Cette technique de projection vidéo intervient ponctuellement et principalement sur une large toile noire en fond de scène pour compléter l’environnement aquatique que le marionnettiste ne peut pas manipuler. Des marionnettes très simples en mousse ou en carton seront filmées en prise de vue directe (banc de poissons, méduses ou des crevettes). Cela permet d’accentuer l’immersion et d’évoquer la richesse de l’environnement de la mare.
La musique est toujours le point de départ des créations de Marc de Blanchard. Il cherche dans son travail une symbiose entre la musique et l’image. Ses compositions électroniques et instrumentales se rapprochent beaucoup du monde cinématographique par la grande variété d’atmosphères et d’émotions qu’elles évoquent. On plane, on rit, on rêve, on bouge. La musique guide l’imaginaire !
UN SET DE MUSIQUE ÉLECTRONIQUE VARIÉ
Avec Coquille Diamant Marc de Blanchard invite le jeune public à découvrir les musiques électroniques. Il a pour cela imaginé un set très varié en termes d’influences.
Il fait notamment appel à :
L’ambient, l’IDM et l’electronica : pour ses mélodies très calmes, répétitives, et ses effets hypnotiques apaisants ou inquiétants propices à la rêverie et la contemplation. Ce style permet également de mixer les textures et de créer des sensations enveloppantes ou des ambiances abstraites. Utilisés particulièrement pour créer des transitions, introduire ou conclure un morceau.
· La techno et le breakbeat : pour ses rythmes entêtants et ses basses lourdes comme une invitation à la danse.
· L’abstract hip-hop : pour ses rythmes tordus, son rythme lent, groovy et l’utilisation de samples.
· La new wave et le krautrock : pour l’aspect brut et direct, voire un peu sombre. Ils sont caractéristiques des années 70-80 et nécessitent l’utilisation de synthétiseurs dans un état d’esprit punk (voire amateur) pour évoquer la peur ou la rébellion.
· L’exotica et l’easy listening : pour ses évocations naïves de pays exotiques et ses paysages sonores rapellant les musiques du monde. Parfois kitsch, il permet d’évoquer un lieu ou une certaine époque (la guitare hawaïenne pour les îles tropicales dans notre cas).
· Le rock psychédélique ou le dub : pour ses échos, ses reverbs extrêmes qui permettent à l’auditeur·rice de sortir de la réalité et le plonger dans un monde parallèle et bouillonnant. Manipulés en live, ces effets sont très ludiques et permettent une interaction visible entre le musicien et ses machines (exacerbées par la réaction lumineuse des boutons des instruments)
La création musicale s’inspire aussi de l’univers marin et de la vie aquatique, chaque composition étant associée à un lieu spécifique, une créature ou un environnement sonore particulier. Les scènes sous l’eau par exemple sont accompagnées de passages musicaux planants et calmes, mélangeant des cris de baleine à des sons de synthétiseurs avec de l’écho. Les scènes sur la plage mélangent des sons de guitare hawaïenne, des percussions, avec des sons organiques (chants d’oiseaux, bruit des vagues).
LES INSTRUMENTS
Le processus de composition s’est fait via à un petit synthétiseur portable : l’organelle. Utilisé de manière simple et en se limitant à une petite quantité de sons et d’effets lors de la composition, cela permet de se concentrer sur les mélodies et les rythmes. Des textures sonores et des samples ont été ajoutés ensuite pour affiner les intentions et les émotions, comme par exemple l’utilisation d’un bruit de vagues comme base rythmique ou d’un son de détendeur de plongée pour imiter le son d’une caisse claire.
Chaque son a ensuite été soigneusement traité numériquement et intégré dans une interface unique créé spécialement pour le spectacle. L’idée étant de pouvoir interpréter ces compositions de manière unique et interactive à chaque représentation. Les interfaces musicales sont à la fois pratiques et esthétiques car elles constituent des éléments de scénographie avec lesquels le musicien va pouvoir jouer comme n’importe quel instrument par le biais de claviers et de boutons.
Pensé comme un rocher à marée basse avec sa faune et sa flore, des lumières et des boutons représentant des anémones, des oursins ou des berniques serviront d’intermédiaires entre le musicien et la musique. Ces synthétiseurs lumineux et ludiques vont permettre aux enfants et aux adultes de comprendre les processus de manipulation du son en direct dans le champ des musiques électroniques.
Présentation des interfaces musicales visibles sur scène par le public :
· Module principal / Le clavier rocher
Il ressemble à un rocher avec des berniques, des anémones et des coraux fluorescents. Cette interface qui fonctionne en MIDI est constituée d’un clavier 29 touches, quatre potentiomètres, un joystick, trois loopers et douzes boutons pour déclencher les scènes du spectacle.
· Module solo / L’algue musicale
Inspirée de la steel guitar ou diddley bow, cette interface permet de déclencher une note unique et longue et de jouer sur le pitch en direct en mode glissando pour évoquer la guitare hawaïenne. Elle est constituée d’une bande sensible de 50 cm sur laquelle le musicien vient placer un doigt unique. Une bande LED est cachée dans un fourreau de tissu évoquant une grande algue et témoigne de la position de la note dans les octaves dès que le doigt se pose sur la bande.
Assisté de Thomas Bloyet à la technique (programmation, assemblage), la dimension visuelle de ces interfaces, créées en collaboration avec l’artiste plasticienne Marie Chatellier, fait partie intégrante de la performance. Des éléments lumineux ou phosphorescents illuminent certaines parties des interfaces, et permettent aux enfants de suivre l’évolution des sons et des manipulations en temps réel. Dans l’univers créé par Marc de Blanchard, les éléments naturels produisent du son et de la lumière.
Par la symbiose entre l’instrument/décor et son utilisateur, ces interfaces mettent en avant le rapport complexe entre l’être humain et son environnement. À travers cela, il s’agit de sensibiliser le public aux problématiques environnementales par l’émerveillement et non par la morale.
Pour cette nouvelle création, Marc de Blanchard poursuit plusieurs objectifs artistiques :
· démystifier et donner vie au plateau à la création musicale électronique par des instruments inventés,
· proposer un panorama varié de styles et de textures sonores qui favorisent la découverte,
· donner aux enfants des clés d’écoute en favorisant une approche de la musique qui soit pluridisciplinaire.
FAIRE DÉCOUVRIR ET COMPRENDRE LA MUSIQUE ÉLECTRONIQUE
Assister à un concert de musique électronique peut parfois manquer d’attrait visuel, surtout pour de jeunes spectateur·rices. Les machines et les outils utilisés, souvent complexes, sont davantage adaptés aux studios qu’à la scène et risquent de sembler abstraits ou distants. Avec Coquille Diamant, Marc de Blanchard cherche à rendre la musique électronique accessible et captivante pour les enfants. Il invente des instruments et des interfaces esthétiques qui reprennent l’univers coloré et aquatique du spectacle. Grâce à des sources lumineuses intégrées, les enfants peuvent visualiser le parcours du son et comprendre ses transformations en direct. Une manière ludique de guider l’écoute en direct !
UN SPECTACLE PLURIDISCIPLINAIRE
Marc de Blanchard défend le mélange des disciplines pour proposer la découverte de mondes pleins de fantaisies. Il joue avec les couleurs, la lumière ultraviolet, la brillance des matières, les objets, les sons pour transformer le spectacle en une expérience vivante et multisensorielle. L’association du travail de mapping vidéo et de la manipulation de marionnettes permet cette immersion dans le milieu aquatique. Elle rend possible le jeu entre les échelles et accentue les contrastes entre l’immensité de l’océan et les détails microscopiques de la vie sous-marine.
UNE INVITATION À DÉCOUVRIR LA RICHESSE DU VIVANT
Les marionnettes représentent des créatures sous-marines souvent ignorées ou tout simplement méconnues : une anémone, un petit bernard-l’hermite. Ces êtres minuscules, ici projetés ou incarnés sur scène, deviennent soudainement des géants le temps d’un spectacle. Une manière de sublimer le réel, de susciter la curiosité des enfants pour la biodiversité marine. Par une approche documentaire, très contemplative et lente, Marc de Blanchard invite de manière poétique les enfants à s’identifier aux personnages et à s’interroger sur la richesse et la fragilité de la vie qui les entoure.
MARC DE BLANCHARD
MUSIQUE ET ARTS VISUELS
Artiste protéiforme, spécialisé dans les projets multimédias, Marc de Blanchard développe des univers curieux souvent inspirés par le domaine scientifique et biologique.
Marc de Blanchard, la musique électronique et les spectacles jeune public : Il se fait connaître en tant que musicien en réalisant des mixes, des émissions de radio, des collages sonores, puis avec un premier projet familial La sieste cosmique (2016), encore en tournée.
Sa musique est électronique mais s’imprègne de sons organiques pour former des rythmes et des mélodies entêtantes entre electronica, techno et rock’n’roll.
En 2019, sort sa première création pour le jeune public avec la chorégraphe Fanny Paris, Allo Cosmos. La rencontre entre l’univers musical et visuel de Marc et la danse contemporaine, une exploration dans l’espace pour les enfants dès 4 ans. Cette création lui a permis de tourner partout en France et à l’étranger, devant de nombreuses classes et familles, confirmant ainsi la qualité de ses projets pour le jeune public et son envie de créer pour.
Son parcours :
Audio : DJ set vinyles, live, EP, albums, sound design, mixes, radio
2012- 2017 : sorties d’EP et d’albums, notamment sur le label parisien, Da! Heard it records.
Depuis 2016 : DJset vinyle La sieste cosmiqueet Tropicool, en tournée nationale (SMAC, médiathèques, Philharmonie de Paris, Les Tombées de la nuit).
2018 : Création de la musique originale du générique du documentaire sur la salle rennaise l’UBU : Uburama (produit par Vivement Lundi!, diffusé sur TV RENNES).
2026 : Projet en cours de création de la bande originale d’une série animée pour enfants : CLAUDY (Miyu production et diffusion France TV) sortie 2026.
Visuel : design graphique, arts plastiques, image animée et création vidéo
Communication visuelle pour des spectacles, des festivals et des associations rennaises et nationales (domaine culturel, social et environnemental).
Exposition d’une installation vidéo aux Champs Libres à Rennes et au festival Brouillage (Radio Campus Paris)
Mapping vidéo sur la façade de l’Opéra Comique à Paris, pour un opéra à la MC2 de Grenoble et dans l’Abbatiale St Ouen à Rouen.
Motion design pour des séries documentaires (Vivement Lundi!).
Clip pour le groupe rennais Fragments.
LUCAS PRIEUX
MARIONNETTES, CONSTRUCTION ET MISE EN SCÈNE
Comédien formé au théâtre amateur, il intègre en 2006 la Formation Pro du Théâtre aux Mains Nues (Paris) et travaille à l’époque comme comédien- marionnettiste pour différentes compagnies du Nord. Avec la compagnie Mano Labo, il met en scène plusieurs spectacles entre 2007 et 2010, avant d’intégrer en 2011 l’École nationale supérieure des arts de la marionnette (Charleville-Mézières). À partir de 2014, il travaille comme assistant à la mise en scène avec Neville Tranter, et avec Sylvie Baillon jusqu’en 2017. Il participe en 2014 à la création du Collectif 23h50 puis en 2018 de la Glitch compagnie, et met en scène Les peluches d’Hippolyte (2015) et #Humains (2018). En 2022, il co-met en scène avec la cie La Mécanique du Fluide le spectacle Sortir? en théâtre d’ombre et marionnettes à gachettes. Il travaille régulièrement comme marionnettiste, constructeur ou regard extérieur sur la manipulation, notamment avec Vera Rozanova (cie La neige sur les cils), David Lacomblez et Cédric Vernet (cie la Mécanique du Fluide), Pierre Tual (Compagnie À demain mon amour).
FLORENCE GARCIA
MARIONNETTES ET REGARD EXTÉRIEUR
Florence Garcia berce des gommes dans des boîtes d’allumettes, construit des décors en carton, écrit des histoires, pratique les claquettes, le patinage artistique, le hip-hop, le tennis, l’équitation, le piano et l’accordéon, avant de se lancer dans le spectacle vivant. Deux diplômes en Architecture Intérieure et Scénographie (ESAT 2008) plus tard, la fréquentation enthousiaste des festivals et une rencontre avec « la marionnette contemporaine » la décideront définitivement à se consacrer à la création plastique, artistique et sociale. Florence est tantôt constructrice, interprète, regard extérieur, à la mise en scène ou pédagogue. Elle collabore avec de nombreux artistes, compagnies et associations.
THOMAS BLOYET
SON ET LUMIÈRE / CONSEILS TECHNIQUES ET CONCEPTIONS INTERFACES MUSICALES
Thomas Bloyet est spécialisé dans l’accompagnement de spectacles mêlant musique électronique et arts numériques. À la fois technicien son et formé aux techniques de la vidéo et de l’éclairage, il collabore avec différents artistes : le plasticien Tristan Menez (Electroni-K), la danseuse Ndoho Ange (Collectif FAIRE) et Marc de Blanchard depuis plusieurs années. Pour cette nouvelle création, Thomas Bloyet apportera ses compétences autour des outils de développement et de programmation (Arduino, Raspberry, Châtaigne,…) pour la création des interfaces musicales du projet.
IVAN TERPIGOREV (COLLECTIF EMU)
CONSTRUCTION DES MARIONNETTES
Né à Moscou, Ivan Terpigorev est plongé dans la pratique de dessins depuis son plus jeune âge. En 2017, il poursuit son rêve d’artiste et intègre une école de cinéma d’animation à Paris. Fasciné par le travail artisanal au contact de la matière, il se tourne rapidement vers la marionnette animée puis celle de théâtre. Ivan se forme directement dans les ateliers avec Carole Allemand, Laurent Huet et Jérôme Clauss (Moving Puppet) et les créations de Johanny Bert, Valérie Lesort, Christian Hecq. En 2023, il rejoint le collectif EMU avec l’entrain de créer un théâtre généreux et ludique.
ÉTIENNE SAGLIO (COMPAGNIE MONSTRE(S))
CONSEILS ARTISTIQUES
OLIVIER PROU
REGARD EXTÉRIEUR À LA MISE EN SCÈNE
Olivier Prou est metteur en scène, auteur et chanteur. Depuis 2002, il est spécialisé dans les spectacles musicaux et le jeune public. Il a notamment mis en scène plusieurs spectacles avec les JM France et a travaillé avec Serena Fisseau sur la création Nouchka et la Grande Question (conte musical). En 2024, il met en scène Secrets de Beatmaker, un spectacle électro jeune public.