Ce noir et blanc infernal, c'est ce qu'on a vu de plus beau dans le polar récemment. CinemaTeaser
Tourné il y a cinq ans en couleur mais passé en noir et blanc pour en atténuer la violence, censuré en Chine, cet inoubliable cauchemar urbain doit sa sortie en salle à sa double consécration méritée (grand prix et prix de la critique) au festival Reims Polar. A ne pas manquer. L'Obs
Vision de Hongkong sidérante, hyperventilée et ultraviolente, le maniérisme est grandiose, saturé de références. On se croit parfois, autant que dans la démesure d’une histoire de voyous chinois à la Ringo Lam, Johnny To ou Bong Joon-Ho, dans un chaos charbonneux à la Alexeï Guerman qui se souviendrait du Samuel Fuller d’"Underworld USA". Libération
Pour résumer, « Limbo » fait passer « Seven » pour « Les Sous-doués en vacances », et laisse au spectateur le goût paradoxal d’avoir à la fois frôlé les replis de l’âme humaine et pris plaisir à un thriller vertigineux. Le Parisien
Une hallucination noire et blanche venue de Hong Kong, comme un cauchemar éveillé et humide signé Soi Cheang, styliste de l’extrême, de la douleur et de la putréfaction. Première Expressionniste, violent et stupéfiant. La Voix du Nord