Dune 2, lui, est bel et bien là, avec tous les atouts pour étancher nos soifs dans ce triste désert qu’est le cinéma américain d’aujourd’hui. L'Humanité
D’une grande fluidité, où rien ne semble superflu ou manquer, où aucune scène n’apparaît jamais ni trop courte, ni trop longue, le récit prend le temps de captiver, d’imposer ses enjeux, d’exposer et de nourrir ses ambiguïtés. CinemaTeaser
Plus fort, plus beau, plus grand, plus passionnant : en montant de plusieurs crans par rapport à son premier « Dune », pourtant déjà extraordinaire, Denis Villeneuve réussit tous ses paris. Le Parisien
Cinéaste-architecte, Villeneuve a un puissant sens de l’échelle – esthétique et humaine – et des résonances contemporaines (comment ne pas penser aux conflits au Proche-Orient et, face au baron Harkonnen, à Poutine ?). L'Obs
Blockbuster splendide, pas très loin d'une œuvre d'art hypnotisante qu'on ne se lasse pas d'observer dans chaque recoin du cadre, Dune 2 confirmera, on l'espère, l'aspiration des foules à un autre genre d'épopée venue d'ailleurs. Le Point
La science-fiction franchit une nouvelle étape en même tant que Paul chevauche un gigantesque ver à travers les dunes de la planète Arrakis. Un moment de grâce visuelle, parmi tant d’autres. La Voix du Nord
Le deuxième opus adapté du roman à succès de Frank Herbert se montre plus politique et rythmé que le premier, sans rien perdre de sa force poétique et sans verser dans le manichéisme. Denis Villeneuve donne un nouveau souffle au blockbuster de science-fiction. La Croix
Fable politique retorse, le deuxième opus du blockbuster pessimiste de Denis Villeneuve manifeste une défiance remarquable vis-à-vis du mythe du héros et son manichéisme. Libération
Au bout de ses (presque) trois heures de film, Dune : Deuxième partie devient, à l’instar d’Oppenheimer l’an dernier, un immense morceau de cinéma pensé et investi, hyper excitant, un film réellement dirigé par une vision. Première