SAMEDI 27 AVRIL

2=1 AGNÈS JAOUI

DEUX FILMS POUR LE PRIX D'UN !
AVEC LE DERNIER DES JUIFS (18H15) + LA VIE DE MA MÈRE (20H30)
Le bar de DSN est ouvert de 18h à 20h30 : boissons et petite restauration.

Le dernier des juifs

FILM FRANÇAIS DE NOÉ DEBRÉ | 2024 | 1H30
AVEC MICHAEL ZINDEL, AGNÈS JAOUI, SOLAL BOULOUDNINE

Bellisha, 27 ans, mène une vie de petit retraité : il va au café, fait le marché, flâne dans la cité... Il vit chez sa mère Giselle, qui sort très peu et à qui il fait croire qu'il est solidement intégré dans la vie active. Le vent tourne quand Giselle s'aperçoit qu'ils sont les derniers juifs de leur cité…

HORAIRES

24 > 30 AVRIL
vendredi 16:30
samedi 18:15 2=1 / BAR / D

Dossier de presse

EXTRAITS DE PRESSE
Un film drôle et attachant. Le Parisien
Une comédie audacieuse et très réussie. Marianne
Sur un air de musique klezmer et servi par deux formidables comédiens, le propos est drôle, sincère et profond. Le Point
Première réalisation de Noé Debré qui sonde la judéité et les préjugés avec humour et finesse. Télérama
Loin de poser ses personnages en victimes, ce premier long métrage dit l’antisémitisme aussi bien que l’entraide et le vivre-ensemble, tout en touchant à l’universel par la question du deuil. Presque malgré lui, Bellisha apporte la paix autour de lui. L'Humanité
Sur cette vue en coupe de la judéité française plane le souvenir d’un melting-pot banlieusard black-blanc-beur-juif dont le film semble à la fois porter le deuil et tenter de construire le réveil, le tout dans un contexte politique à l’écho éminemment douloureux mais qui, fort heureusement, n’intimide pas sa part de légèreté. Les Inrockuptibles
Tour à tour drôle et grave, le premier film de Noé Debré s'empare de questions épineuses pour mieux sonder la profonde solitude de ses personnages. Les Fiches du Cinéma
Ce premier long métrage de Noé Debré se distingue par la finesse de son écriture, qui déboulonne les clichés sans jamais verser dans l’angélisme, faisant passer quelques idées sur le racisme ou l’antisémitisme avec drôle rie et sans prêchi-prêcha. Positif
Une chronique drôle, émouvante, mélancolique. Noé Debré décrit la fin d’un monde où l’amitié quotidienne et les relations de voisinage prévalaient, malgré les tensions, sur les antagonismes géopolitiques. Sud Ouest