13 SEPTEMBRE > 3 OCTOBRE

L'été dernier

FILM FRANÇAIS DE CATHERINE BREILLAT | 2023 | 1H44 |
AVEC LÉA DRUCKER, SAMUEL KIRCHER, OLIVIER RABOURDIN
SÉLECTION OFFICIELLE, CANNES 2023

Anne, avocate renommée, vit en harmonie avec son mari Pierre et leurs deux petites filles. Un jour, Théo, 17 ans, fils de Pierre d’un précédent mariage, emménage chez eux. L’adolescent trouble la mère de famille, ils se rapprochent. Quelques temps plus tard, Pierre avoue leur liaison à son père mais Anne nie…
« Ce nouvel opus déjoue les pièges redoutés et se révèle passionnant de bout en bout par sa maîtrise du récit, vif comme l’éclair. (…) Un portrait complexe et stupéfiant d’une manipulatrice endossant, à la façon d’une actrice géniale (bravo Léa Drucker !), le rôle de la victime. » Télérama

HORAIRES

mercredi 16:30 | 18:30
jeudi 20:45
vendredi 14:30 | 20:45
samedi 16:30 | 18:30
dimanche 18:30
mardi 16:30 | 18:30

mercredi 14:30 | 18:30
samedi 18:30
mardi 14:15 | 16:15

mercredi 14:30
jeudi 16:30
samedi 18:30
dimanche 16:00
mardi 20:45 D

Dossier de presse

Samedi 23 et dimanche 24 septembre, c’est la fête des cinémas normands !
Toutes les séances sont au tarif unique de 5€.
En partenariat avec la Chambre Syndicale des Cinémas de Normandie, la Région Normandie et Normandie Images.

EXTRAITS DE PRESSE
C’est toute la beauté retorse de ce film que de nous faire aimer un personnage que tout désigne comme détestable. Les Inrockuptibles
Aujourd’hui âgée de 75 ans, Catherine Breillat, qui a survécu, rappelons-le, à un AVC la laissant hémiplégique et qui fut sous l’emprise d’un escroc (comme elle l’a raconté dans Abus de faiblesse), nous offre un tel manifeste de vigueur amorale qu’il est difficile de ne pas être admiratif. Télérama
Un portrait de femme plein de paradoxes et de cruauté sublimé par Léa Drucker. Libération
La cinéaste prête autant d’attention à cette passion égarée qu’à l’effarante mécanique qui se met en place dans son sillage : celle du déni collectif et du compromis bourgeois, si puissants qu’ils semblent à même d’absorber toute réalité. Le Monde
Breillat n’est pas là pour plaire. Son truc ? Pousser le spectateur et ses personnages dans leurs retranchements. Interroger nos hypocrisies, la violence du déni et des carcans bourgeois à travers la transgression. Dénicher le beau dans l’impur. Elle le fait ici avec une rigueur d’entomologiste et une empathie éperdue pour ceux qu’elle filme. L'Obs
Catherine Breillat, souvent clivante, fédère par le charme transgressif que diffuse son "Eté dernier". Franceinfo Culture
Avec une force plus vertigineuse encore qu’au temps d’Une vieille maîtresse (2007), Breillat filme [le] rapprochement [entre Anne et Théo], en le délestant de toute lourdeur démonstrative. Cahiers du Cinéma