22 > 28 MAI

Le Tableau volé

FILM FRANÇAIS DE PASCAL BONITZER | 2024 | 1H31
AVEC ALEX LUTZ, LÉA DRUCKER, NORA HAMZAWI

André Masson, commissaire-priseur dans une célèbre maison de ventes, reçoit un jour un courrier l’informant qu’une toile d’Egon Schiele aurait été découverte à Mulhouse chez un jeune ouvrier. Sceptique, il se rend sur place et doit se rendre à l’évidence : le tableau est authentique, un chef-d'œuvre disparu depuis 1939, spolié par les nazis…

HORAIRES

22 > 28 MAI
mercredi 18:30
vendredi 16:00
samedi 20:45
dimanche 18:30
mardi 20:45 D

Dossier de presse

LE MOT DES EXPLOITANT·ES
Dans un style enlevé, Le Tableau volé dépeint un monde contaminé par l’argent et la menace du faux. En contrebande de cette histoire vraie, le film pointe la très relative sincérité des relations humaines. Lorsque la valeur des choses est moins déclarative que soumise au marché, la vérité de chaque personnage apparaît tout aussi fluctuante que leurs intérêts. Servi par d’immenses comédien·nes, Bonitzer met finement en lumière des rapports de classe que d’aucuns voudraient cacher sous les tapis cossus des salles de vente. Délectable.

Nicolas Milesi - Cinéma Jean Eustache, Pessac
https://www.art-et-essai.org

EXTRAITS DE PRESSE
Un bel hommage au rôle réconciliateur de l’art dans une œuvre qui commençait comme du Lubitsch et qui se conclue comme chez Capra. Positif
Pascal Bonitzer s’empare d’une histoire vraie pour dépeindre le monde du marché de l’art dans un film passionnant servi par une distribution impeccable. La Croix
Ce jeu de piste élégant et piquant vaut surtout pour sa description du microcosme du commerce de l'art. Sud Ouest
Le réalisateur parvient, à concilier précision du trait, efficacité narrative et ampleur romanesque. Avec toujours un goût affirmé pour l’humour piquant mais, aussi, une émotion davantage assumée. Télérama
Le monde de la vente d’objets d’art est décrit avec une mine d’informations fort précises et tout à fait passionnantes, et chaque personnage porte sa part de romanesque, de secret, de folie. Les Inrockuptibles
Servi par une belle distribution, ce film permet de découvrir Nora Hamzawi dans un registre inattendu. Elle est tout bonnement irrésistible en avocate de province gauche. Il confirme les talents de Louise Chevillotte, merveilleuse mythomane, et d'Arcadi Radeff, bouleversant en ouvrier dépassé par les événements. Le Point
On retrouve les dialogues en forme de douche écossaise chers au cinéaste, notamment dans la scène d’ouverture, un modèle du genre. Et puis il y a cette galerie de personnages – ex-femme, avocate… –, dont Bonitzer ne divulgue pas tous les secrets mais qui, chacun à leur manière, servent le film et en majorent l’intérêt. L'Obs
Inspiré d’une histoire vraie, le film parle moins d’art que des intérêts qui y sont liés. Le tout avec finesse et humour, sans jamais grossir le trait. Le Parisien