8 > 14 MAI

Madame Hofmann

FILM DOCUMENTAIRE FRANÇAIS DE SÉBASTIEN LIFSHITZ | 2024 | 1H44 |

Sylvie est cadre infirmière depuis 40 ans à l’hôpital nord de Marseille. Sa vie, c’est courir. Entre les patients, sa mère, son mari et sa fille, elle consacre ses journées aux autres depuis toujours. Et si elle décidait de penser un peu à elle ? De partir à la retraite ? En a-t-elle le droit, mais surtout en a-t-elle vraiment envie ?

HORAIRES

8 > 14 MAI
mercredi 16:30
jeudi 16:30 | 20:45
samedi 18:30
mardi 16:30 D

Dossier de presse

EXTRAITS DE PRESSE
Profondément humain et puissamment politique. Première
Le portrait émouvant d’une héroïne du quotidien. Télérama
Sébastien Lifshitz brosse le portrait passionnant d’une soldate de l’hôpital public. Le Parisien
Si le cinéaste dépeint, par l’intermédiaire de Sylvie Hofmann, l’hôpital en crise, en manque de tout, de matériel et de soignant·es, c’est moins pour en chroniquer le chaos que pour honorer l’intelligence humaine qui lui fait face. Les Inrockuptibles
Comme dans Adolescentes, les Invisibles ou Petite Fille, Sébastien Lifshitz ausculte le singulier et l’extraordinaire dans le quotidien des gens ordinaires, ceux dont l’histoire ne retient pas le nom. Le documentariste les mue en véritable héros de cinéma. L'Humanité
Témoignage implacable sur l’engagement d’une femme et sur le délabrement du système de soins, ce documentaire sensible et offensif mérite d’attirer en masse les spectateurs dans les salles. Marianne
Sébastien Lifshitz suit le quotidien d’une cadre infirmière de l’hôpital Nord à Marseille et dresse le portrait bouleversant et joyeux d’une femme exemplaire qui a dédié sa vie au service public. La Croix
Après le succès d’Adolescentes et de Petite fille, Sébastien Lifshitz confirme son talent de portraitiste avec Madame Hofmann, en abordant la paupérisation de l’hôpital public sous l’angle singulier d’une cadre hospitalière à la veille de la retraite. Les Fiches du Cinéma
Certes, il n’est pas anodin que la situation de l’hôpital public soit ici ramenée aux seules dimensions d’un personnage sacrificiel, comme si la seule réponse à la crise de l’institution consistait en un dévouement sans borne, une résolution à ne pas compter ses heures. Cependant, Lifshitz regarde son personnage à un autre niveau. Le Monde
Au cœur du projet, il y a ce rapport de confiance unique que le réalisateur instaure avec les êtres qu’il regarde. L'Obs
À travers le regard attentif de Lifshitz, toujours soucieux de mettre dans la lumière les anonymes et les invisibles, les combats se racontent non pas à partir des revendications, mais de la vie de Sylvie, à l'hôpital et au dehors. Dernières Nouvelles d'Alsace
Comme à son habitude, Sébastien Lifshitz filme ce quotidien avec des images d'une grande beauté. Il intercale dans la folie du quotidien des séquences silencieuses, moments suspendus dans cette course incessante, instants de pause dans cette fuite en avant qu'est la vie, qui a filé si vite, constate Sylvie. Franceinfo Culture