Napoléon est un film déroutant, mais régulièrement époustouflant visuellement et dont certains plans inédits resteront gravés dans les mémoires. Le Point
Reste que Scott sera toujours un filmeur balaise : cet assemblage hétéroclite est fait de moments souvent colossaux, jouant sur les contrastes - entre ombre et lumière, entre individu et masse, entre anecdote et histoire avec un H. Première
Absolument dépourvu d’approche politique mais loin d’être hagiographique, le grand spectacle est là. La Voix du Nord
Une opportunité pour l’esthète Scott – qui rêvait d’être peintre – de déployer sa science des scènes de guerre où, à l’impression de voir prendre vie des toiles de Gérôme, Gérard ou Detaille, se mêlent une violence crue, un sens du détail et des mouvements de foule (sans effets spéciaux CGI visibles) d’une force spectaculaire. L'Obs
Un jeu de massacre à la terreur grandiose, sous les ordres d’un Napoléon froid comme la mort. La mise en scène est époustouflante, la réalisation d’une puissance visuelle remarquable. Dernières Nouvelles d'Alsace
Parce que oui, si vous voulez aller au cinéma pour en prendre plein les yeux, avec une mise en scène grandiose et une photo incroyable, alors vous allez être servis ! Filmsactu
Il y a de l’audace dans cette version de comédie romantique, qui ose même l’érotisme sur la couche conjugale, avec scènes de sexe gaillardes, pleines d’une étonnante et même amusante verdeur. Car oui, c’est drôle, ironique, cette comédie du couple dans laquelle Napoléon apparaît comme un amoureux faible, vulnérable et capricieux, sapant presque la légende du héros guerrier tout-puissant. Le Dauphiné Libéré
