27 DÉCEMBRE > 14 JANVIER

L'Innocence

KAIBUTSU
FILM JAPONAIS D' HIROKAZU KORE-EDA | 2023 | 2H06
AVEC SAKURA ANDO, EITA NAGAYAMA, SOYA KUROKAWA
PRIX DU SCÉNARIO, CANNES 2023

Le comportement du jeune Minato est de plus en plus préoccupant. Sa mère, qui l’élève seule depuis la mort de son époux, décide de questionner l’équipe éducative de son école. Tout semble désigner le professeur de Minato comme responsable des problèmes rencontrés par le jeune garçon. Mais au fur et à mesure que l’histoire se déroule à travers les yeux de la mère, du professeur et de l’enfant, la vérité se révèle bien plus complexe.

HORAIRES

mercredi 14:30 | 20:45
jeudi 18:30
vendredi 18:30
samedi 20:45
mardi 18:30 | 20:45

mercredi 16:00 | 20:45
jeudi 18:30
vendredi 16:00 | 18:30
samedi 14:15 | 20:45
dimanche 16:00
mardi 16:30

mercredi 20:45
vendredi 14:15
samedi 21:00
dimanche 14:15 D

Dossier de presse

EXTRAITS DE PRESSE
Le réalisateur japonais Hirokazu Kore-eda signe une œuvre forte, à la fois sophistiquée et bouleversante. La Voix du Nord
Avec "l’Innocence", Hirokazu Kore-eda aborde les émois contrariés de deux garçons dans le Japon contemporain et poursuit d’une main de maître son exploration des récits à vérités multiples. L'Humanité
Une fois de plus, Kore-eda signe un film parfaitement maîtrisé et raconte une histoire d’amitié bouleversante entre deux enfants. Le Parisien
"L’Innocence" dépeint avec finesse la cruauté de l’enfance et la rigidité de la société japonaise. Le tout servi par une mise en scène virtuose, qui fait atteindre à ce bijou un rare degré de perfection. La Croix
une grâce et une émotion grandissant à mesure que les gamins s’emparent du récit et que la musique pointilliste de Ryuichi Sakamoto parle pour eux. L'Obs
L'Innocence se pare inconsciemment de puissants atours méta en assumant sa nature manipulatrice, qu'il partage avec le cinéma lui-même. CinemaTeaser
Hirokazu Kore-Eda raconte les mystères de l'enfance comme un suspense policier, dans un film à la structure alambiquée, mais qui finit par bouleverser. Première
Dans un labyrinthe narratif truffé de fausses pistes et de faux-semblants, où il serait facile de se perdre et de se faire des nœuds au cerveau, Hirokazu Kore-eda, dont c’est le 16e long-métrage, tient fermement le cap d’un drame captivant sur l’enfance, remarquablement rigoureux. Dernières Nouvelles d'Alsace