3 > 9 AVRIL

L'Empire

FILM FRANÇAIS DE BRUNO DUMONT | 2024 | 1H51
AVEC LYNA KHOUDRI, CAMILLE COTTIN, FABRICE LUCHINI
OURSE D'ARGENT, BERLIN 2024

Côte d'Opale, nord de la France. Dans un pittoresque village de pêcheurs, un événement tant attendu se produit enfin : la naissance d’un bébé spécial, un enfant si unique et si particulier qu'il déclenche une guerre secrète entre les forces extraterrestres du bien et du mal...

HORAIRES

3 > 9 AVRIL
mercredi 16:30 | 20:45
jeudi 14:30
dimanche 16:30
mardi 18:30 D

Dossier de presse

EXTRAITS DE PRESSE
Le réalisateur de “P’tit Quinquin” orchestre un combat intersidéral dans son univers familier du Boulonnais… et fait cohabiter le chaos et la grâce à chaque plan. Les Inrockuptibles
Toujours aussi décalé, le réalisateur de “P’tit Quinquin” orchestre un space opera burlesque sur ses terres du Nord. Un pari perché, parfaitement maîtrisé. Télérama
Grâce à une accumulation de bonnes idées minimalistes, le cinéaste déride le registre épique à la sauce guerre intergalactique en pays chti. Libération
Le réalisateur transpose l’univers de Star Wars dans sa région natale et réunit le naturel et le surnaturel dans une comédie aussi irrésistible que brillante sur la condition humaine. La Croix
Le réalisateur d’origine nordiste tourne une fois encore sur la Côte d’Opale et signe une science-fiction peuplée d’envahisseurs belliqueux et garnie d’engins spatiaux. Un spectacle inédit, très drôle et qui dit beaucoup sur la nature humaine. La Voix du Nord
"L'Empire", c'est le collage audacieux et frankensteinien entre le Pas-de-Calais et le lointain intergalactique, entre l'éther du ciel et la glaise de la terre, un film "monstrueux", un projet-freak (et pas franchement fric) qui assemblerait Dreyer, Bresson, Mocky, les frères Dardenne et Lucas pour représenter la rencontre entre "P'tit Quinquin", "Wonderwoman" et "Satan". Transfuge
C’est précisément cette union qui donne au film son étrange beauté hybride, mêlant profane et sacré : un sabre laser qui frôle le visage à peine maquillé d’une actrice, un ballet de vaisseaux spatiaux en plein jour, des dialogues sortis tout droit de Star Wars mais récités au milieu de pavillons. Le Monde
Au-delà des motifs qui renvoient aux anciens films de Dumont, ce qu’on retient d’abord de ce portrait de l’humanité au bord du gouffre, c’est le plaisir. Plaisir d’un film qui ne ressemble à aucun autre, où l’on s’amuse beaucoup, et dont certaines visions apocalyptiques ne m’ont pas quitté trois semaines après la projection. Positif
Bruno Dumont nous prend encore là où on ne l’attendait pas, trouve l’esthétique et le ton pour mettre en boîte avec révérence le "space opera" hollywoodien, dans un environnement où il n’aurait, sans lui, rien à y faire. Franceinfo Culture