12 > 16 AVRIL

EN AVANT-PREMIÈRE

Inchallah un fils

INSHALLAH WALAD
FILM JORDANIEN D’AMJAD AL RASHEED | 2024 | 1H53
AVEC MOUNA HAWA, HAITHAM IBRAHEM OMARI, YUMNA MARWAN
PRIX FONDATION GAN, SEMAINE DE LA CRITIQUE, CANNES 2023

Jordanie, de nos jours. Après la mort soudaine de son mari, Nawal, 30 ans, doit se battre pour sa part d’héritage afin de sauver sa fille et sa maison. Si elle avait eu un fils, sa situation aurait été bien plus favorable…
« Porté par l'interprétation poignante de Mouna Hawa, ce film prenant permet de saisir, à travers un destin individuel, la cruauté d'une société qui dénie aux femmes les droits les plus élémentaires. » Le Point

HORAIRES

10 > 16 AVRIL
vendredi 16:30 | 18:30
samedi 18:30
dimanche 16:00
mardi 16:00 D

Dossier de presse

LE MOT DES EXPLOITANT·ES
Dans ce premier long métrage jordanien, Amjad Al Rasheed dénonce habilement l’injustice patriarcale des lois de son pays où les droits de la femme sont mis à mal, voire remis aux mâles ! Cupidité, lâcheté de ses proches, religions et antagonisme des classes, harcèlement de rue sont mis en scène et soutenus par une fluidité narrative où le spectateur est convié à suivre Nawal (excellente Mouna Hawa) dans sa lutte progressive contre ces absurdes inégalités sans jamais en faire une héroïne « sacrifiée », mais une combattante au quotidien. La séquence finale où sa fille la regarde depuis un balcon conduire le pick up, laisse entrevoir l’espoir d’une conquête d’indépendance et de liberté égalitaire pour toutes les femmes privées de leurs droits essentiels.

Evelyne HAMARDÉtoile Cinéma, Semur en Auxois
https://www.art-et-essai.org

EXTRAITS DE PRESSE
Cette fiction lucide, mise en scène avec sens très affûté du découpage, est une révélation. L'Obs
Très émouvant, ce film est par ailleurs empreint de suspense et traversé par l’espoir. Le Parisien
Ce premier film brille par la justesse de son parti pris féministe. Les Inrockuptibles
"Inchallah un fils" est un premier film de rage et d’espoir, Amjad Al Rasheed un réalisateur surdoué et Mouna Hawa une actrice éblouissante. Franceinfo Culture
Le film d'Al Rasheed est un drame social réaliste, aussi puissant que ceux d'Asghar Farhadi. Dernières Nouvelles d'Alsace
Dotée d’un suspense qui monte à petit feu, cette comédie dramatique retrace les vicissitudes du veuvage de Nawal (l’actrice palestinienne Mouna Hawa), 30 ans, qui vient tout juste de perdre son mari. Le Monde
Dans son premier film en forme d’uppercut, le débutant Amjad Al Rasheed suit à la trace une jeune veuve jordanienne qui, avec ses faibles armes, combat l’adversité et le machisme vociférant de son pays. Présentée l’an passé au festival de Cannes (une première pour un film jordanien), cette fiction implacable révèle un cinéaste prometteur. Marianne
Tout cela pourrait être édifiant et cynique si le film n'était mené tambour battant, avec une vigueur romanesque riche en péripéties et surtout en complexité. Transfuge
Grâce à une minutieuse mise en scène où le personnage tente en permanence de s’extirper de décors étouffants pour gagner sa liberté, ce récit aux dialogues ciselés procure au final des sensations poignantes, lumineuses et apaisées. Première