15 > 21 octobre

MIROIRS NO.3

FILM ALLEMAND DE CHRISTIAN PETZOLD (2025 – 1 H 26)
AVEC PAULA BEER, BARBARA AUER, MATTHIAS BRANDT
QUINZAINE DES CINÉASTES, CANNES 2025


Lors d’un week-end à la campagne, Laura, étudiante à Berlin, survit miraculeusement à un accident de voiture. Physiquement épargnée mais profondément secouée, elle est recueillie par Betty, qui a été témoin de l’accident et s’occupe d’elle avec affection. Peu à peu, le mari et le fils de Betty surmontent leur réticence et une vie quasi familiale s’installe…
« Une nouvelle merveille de Christian Petzold, cinéaste allemand inspiré dont les films mixent de façon étonnante noirceur et douceur, et qui renoue pour la quatrième fois d’affilée avec sa muse, la remarquable Paula Beer, pour l’embarquer dans une bien curieuse histoire… » Le Parisien

HORAIRES

15 > 21 OCTOBRE
mercredi 18h30
jeudi 20h45
vendredi 18h30
samedi 14h15
mardi 20h45 D

Dossier de presse

EXTRAITS DE PRESSE
Entre hors-champ et lignes de fuite symboliques, la mise en scène minérale et épurée du cinéaste allemand se fait le reflet du mystère abyssal de ses deux héroïnes. Superbe. L'Obs
Dans une mise en scène sobre et bucolique, le film de l’Allemand Christian Petzold sonde avec justesse la rencontre entre une jeune pianiste et une sexagénaire endeuillée. Libération
Quel beau film de fin d’août ! Un conte plein de mystère tapi à la porte de la réalité. Une étrange et ensoleillée suspension du temps. Jusque dans cette feinte simplicité, qui recouvre des trésors de subtilité, de profondeur, de délicatesse. Christian Petzold s’est imposé de longue date comme la tête du pont internationale des auteurs de cinéma allemands Le Monde
Grand cinéaste du deuil, du double et de l'identité, Christian Petzold, à qui l'on doit des merveilles telles que Phoenix, Ondine ou Le Ciel rouge, tisse un film à la fois magistral et pudique, intense et minimaliste. Un conte de fées au cœur amer, l'histoire délicate d'êtres hantés par une absence et bouleversés de voir la vie retrouver son chemin. Le Point
Mais alors que certaines de ses précédentes réalisations souffraient d’un aspect parfois trop alambiqué ou d’une certaine lourdeur de trait, Miroirs No. 3 brille au contraire par une forme de dépouillement, d’élégant classicisme même. Les Inrockuptibles
Une jeune accidentée est recueillie par une inconnue dans sa maison, havre de paix. Émotions subtiles, rires fous : un récit de réparation, entre rébus et poème. Télérama