Un polar puissant. Marianne
Un film parfaitement maîtrisé et très documenté. Le Parisien
Un thriller politique haletant sur fond d’une société fracturée. La Croix
Après le féminicide de “La Nuit du 12”, Dominik Moll nous plonge dans les bureaux de l’IGPN pour une radiographie glaçante d’un système où la dénégation des fautes l’emporte sur le réel. Les Inrockuptibles
Dossier 137, porté haut par Léa Drucker, aussi précise, vive que lumineuse, et un casting en tout point impeccable, est un grand film, dont la résonance vous hante longtemps après son générique achevé. Bande à part
Dominik Moll et Gilles Marchand ont évité le didactisme du film-dossier grâce au suspense d'une enquête exhaustive, documentée et pleine de tensions. Positif
Au fil d’un récit à la ligne claire, au montage précis et sans effet de manche, Dominik Moll (La Nuit du 12) s’interroge sur le rapport de la Nation avec ses citoyens, sur le mépris de classe, la doctrine du maintien de l’ordre, le sens des images, la post-vérité. Surtout, il parvient à donner de la chair à une litanie de procès-verbaux. Vraiment passionnant. La Voix du Nord
Tantôt limité, tantôt renforcé par son dispositif robotique et protocolaire, le cinéaste scrute les mécanismes d’une institution souvent dysfonctionnelle, en prenant pour point de départ une affaire de violences policières dans une manifestation de gilets jaunes. Libération
Pressions syndicales, incompréhension de la famille de la victime, répressions judiciaires, improbables vidéos de chatons et retour au pays natal traversent cet excellent film qui remet en lumière un mouvement populaire longtemps resté incompris. L'Humanité
Après l’immense carton de La Nuit du 12, Dominik Moll revient gonflé à bloc avec cette « nuit du 8 décembre 2018 », disséquée avec le même souci de didactisme et de nuance dont il s’est fait, avec son scénariste, Gilles Marchand, le modeste artisan. Télérama
Au-delà de son talent pour la mise en scène et la structure, Dominik Moll fait aussi preuve d'une grande intelligence dans son propos. Refusant de fustiger l'un ou l'autre parti, il laisse le temps à chacun de développer un discours et un contre discours. Abus de Ciné
En s’attachant à cette enquête menée par Stéphanie (Léa Drucker, une nouvelle fois magistrale) et son équipe, Dominik Moll poursuit avec Dossier 137 le geste cinématographique entamé avec La Nuit du 12 (2022) : se servir du film de genre pour mettre le doigt sur un dysfonctionnement de la société. Le Monde .