Les 21 et 23 décembre

SPRINGSTEEN: DELIVER ME FROM NOWHERE

FILM AMÉRICAIN DE SCOTT COOPER (2025 - 2H)
AVEC JEREMY ALLEN WHITE, JEREMY STRONG


La genèse de l’album “Nebraska” au début des années 80, période au cours de laquelle le jeune musicien, sur le point d’accéder à une notoriété mondiale, lutte pour concilier les pressions du succès et les fantômes de son passé…

HORAIRES

17 > 23 DÉCEMBRE
dimanche 16h15
mardi 20h30 D

Dossier de presse

EXTRAITS DE PRESSE
Avec le Bruce Springsteen tourmenté et dépressif de « Nebraska », Scott Cooper trouve un sujet en adéquation parfaite avec son cinéma de la retenue et de la démythification de l’Amérique. Une splendeur qui s’affranchit des conventions du genre. CinemaTeaser
Inutile, enfin, d’être un spécialiste du « Boss » pour apprécier la leçon d’intégrité qui déborde largement le cadre du film musical. Simple et universelle, la morale pourrait être celle de l’ultime couplet de Highway Patrolman, déchirante ballade qui clôt Nebraska, dans laquelle un policier se montre patient avec son délinquant de frère : « Un homme qui tourne le dos à sa famille n’est tout simplement pas bon. » Télérama
Deliver Me From Nowhere ne parle pas de gloire. Il parle de fragilité, de création, de renaissance. Comme Nebraska, il ne cherche pas à séduire, mais à toucher juste. Un film qui, en silence, dit tout. Rolling Stone
Plus qu’un Biopic sur la construction d’un album anthologique de musique, Springsteen : Deliver Me From Nowhere est une plongée empathique sur les vertiges de la dépression avec un Jeremy Allen White stupéfiant. aVoir-aLire.com
Dans le rôle principal, Jeremy Allen White est impeccable, tout en retenue. Il ne singe pas, ne surjoue pas, se contentant d'interpréter Springsteen dans une physicalité expressive de peu de mots. Dans une scène particulièrement bouleversante, il est même magistral, exprimant durant quelques secondes silencieuses toute la détresse et la douleur accumulées. Franceinfo Culture