26 décembre > 3 janvier

L’AGENT SECRET

(O AGENTE SECRETO)

FILM BRÉSILIEN DE KLEBER MENDONÇA FILHO (2025 - 2H40)
AVEC WAGNER MOURA, GABRIEL LEONE
PRIX DE LA MISE EN SCÈNE ET PRIX D’INTERPRÉTATION MASCULINE, CANNES 2025


Brésil, 1977. Marcelo, un homme d’une quarantaine d’années fuyant un passé trouble, arrive dans la ville de Recife où le carnaval bat son plein. Il vient retrouver son jeune fils et espère y construire une nouvelle vie. C’est sans compter sur les menaces de mort qui planent au-dessus de sa tête…

HORAIRES

vendredi 14h30
samedi 16h - 20h30
dimanche 14h15 - 18h
mardi 16h - 20h30

jeudi 18h
vendredi 18h
samedi 17h30 D

Dossier de presse

LE MOT DU JURY DES CINÉMAS ART ET ESSAI
Ce film a fait l’unanimité au sein du jury. Sa maîtrise technique et sa mise en scène virtuose servent un véritable hymne à la résistance, qui offre une réflexion poignante sur la manière dont la dictature affecte à la fois les histoires individuelles et la mémoire collective d’une nation. Mêlant habilement des hommages au cinéma de genre et à la salle de cinéma elle-même, le film exploite pleinement les possibilités offertes par le langage cinématographique. Il en résulte une œuvre généreuse, ambitieuse, drôle et profonde, qui reste assurément accessible à tous les publics.

https://www.art-et-essai.org

EXTRAITS DE PRESSE
Intelligent, foisonnant, captivant, digressif, drôle, nostalgique, politique : L’Agent secret est un film total qui joue sur les codes et les genres du cinéma. Bande à part
Il ne faut pas rater ce chef-d’œuvre brésilien bardé de récompenses. Le Parisien
Une œuvre magistrale à la fois solaire et sombre appelée à devenir un classique. La Croix
Le cinéaste brésilien retrouve sa ville de Recife pour un film noir ambitieux, beau, fou, plein de délires réalistico-magiques. Les Inrockuptibles
Le cinéaste brésilien fait son retour avec un magistral thriller qui met en scène un universitaire embarqué en pleine dictature militaire dans une aventure qui le dépasse. Un film politique à la fois sombre, drôle et sensuel. Libération
Soleil noir de la mélancolie, bien sûr, illuminant la marche étoilée d’un récit qui dispense des gerbes de fausses pistes que nous prendrons toutes à cœur. Un tel film ne « raconte » pas, il nous invite à se perdre en lui pour mieux retrouver, grâce à nous, la place qui lui revient. Le Monde
Un étourdissant thriller dans l’effroi de la dictature. Dans le Brésil de 1977, un homme est aux abois, la mort aux trousses... Un film doublement primé à Cannes dans lequel le cinéaste ressuscite avec éclat une époque ténébreuse à travers le parcours tragique d’un superbe héros. Télérama
Grand film sur l’emprise sourde de la dictature et les fictions dans lesquelles elle enferme ses citoyens, ce thriller politique, énigmatique et sensuel a reçu à Cannes le prix de la mise en scène et celui de l’interprétation masculine pour Wagner Moura (le Pablo Escobar de la série « Narcos »). L'Obs
Un film d’une telle virtuosité aurait pu prétendre à la Palme d’or au dernier Festival de Cannes où il était en compétition. Il est reparti avec un prix de la mise en scène et un prix d’interprétation pour le magistral Wagner Moura (le Pablo Escobar de la série Narcos). Rien à dire. La Voix du Nord