Le bijou azuréen d’Abdellatif Kechiche. Le réalisateur sort le dernier volet d’une trilogie sétoise, entre jeu de dupes et incandescence des désirs, entamée en 2016. Le film de toutes les réconciliations et des retrouvailles, avec des personnages qui n’en finissent pas de nous surprendre. Le Monde
Une grande fresque vitaliste, doublée d’une parodie de vaudeville. L'Humanité
Abdellatif Kechiche décuple notre plaisir de retrouver les personnages de sa trilogie sétoise, dans un ultime volet dense en rebondissements. Les Inrockuptibles
On attendait ce « Mektoub my Love : Canto Due » depuis sept ans… On n’est pas déçus. Abdellatif Kechiche signe ici un film sensuel et lumineux, et passe de la comédie au drame, puis au polar. Le Parisien
Canto Due est aussi une formidable démonstration de cinéma. Kechiche y déploie cette capacité rare à magnifier la banalité du quotidien, à transformer une fin de repas en scène hypnotique. Le Point
L’autre grande nouveauté tient à la narration. La chronique au fil de l’eau a laissé place à un récit plus structuré, aux enjeux dramatiques plus affirmés. Canto due ose de séduisantes ruptures de ton, de la franche comédie parfois proche du sitcom au thriller. Télérama
Près de dix ans après le début de son tournage, arrive en salles le nouveau film de la trilogie maudite du cinéaste, prolongeant l’été sans fin. Une réponse troublante aux scandales, offrant à ses personnages un tour de piste crépusculaire. Libération
Kechiche fait des merveilles. Les Fiches du Cinéma
Solaire, sensuel et profondément envoutant, Mektoub my Love : Canto Due marque le retour flamboyant du tant controversé Abdellatif Kechiche. aVoir-aLire.com
Canto Due est plus léger, plus drôle aussi, et moins méditatif que son grand frère. Positif