12 > 16 mars

BONJOUR L'ASILE

FILM FRANÇAIS DE JUDITH DAVIS (2024 - 1H47 )
AVEC JUDITH DAVIS, CLAIRE DUMAS, MAXENCE TUAL

Jeanne quitte quelques jours le stress de la vie urbaine pour aller voir son amie Elisa, récemment installée à la campagne. Au cœur des bois voisins, un château abandonné devenu tiers-lieu, foisonne d’initiatives collectives. Mais combien de temps cet asile d’aujourd’hui pourra-t-il résister à ce monde de fou ?

HORAIRES

12 > 18 MARS
mercredi 18h30 - 20h45
vendredi 18h30
samedi 16h30
dimanche 18h45 D

Dossier de presse

LE MOT DES EXPLOITANT·ES
Dès la première scène, le film donne le ton : tous les personnages se définissent par leur travail, épanouissant, aliénant, les deux à la fois. Ici, pas de manichéisme. C’est la comédie la plus intelligente de l’année, émancipatrice sur le fond comme sur la forme. Amaury, Bastien, Jeanne, Élisa, Cindy, même Victoire, c’est un peu nous. On aura parfois honte de s’y reconnaître, on en rira, on en sera transformé. C'est ce qui différencie une œuvre singulière d'un produit calibré, l'artiste de l'artisan : la capacité à modifier le public. Sortirez-vous transformés de ce film ? Trouverez-vous votre héron aux genoux écorchés ?

Sébastien Olaldé - Cinéma de Gencay
https://www.art-et-essai.org

EXTRAITS DE PRESSE
Une comédie foutraque et loufoque. L'Humanité
Une comédie foutraque mais très réjouissante sur nos névroses contemporaines. La Croix
Si l’on en restait là, dans ce registre de comédie sociale parfaitement exécutée, ce serait déjà très bien, mais "Bonjour l’asile" décide alors de prendre une tangente beaucoup plus casse-gueule, osant imaginer une utopie capable (peut-être !) de mettre tout le monde d’accord. Libération
Une comédie pleine d’énergie qui interroge avec humour les contradictions de notre époque. Judith Davis met en scène des personnages tiraillés entre idéaux et réalités sociales. Les Inrockuptibles
Dans ce deuxième long-métrage, après "Tout ce qu’il me reste de la révolution", Judith Davis examine et déconstruit divers systèmes de domination, auxquels elle oppose la force du collectif : sans angélisme, avec une bonne dose d’humour - y compris d’autodérision - et de l’espoir, malgré tout. Bande à part