19 > 22 juin

MA MÈRE, DIEU ET SYLVIE VARTAN

FILM FRANÇAIS DE KEN SCOTT (2025 - 1 H 42)
AVEC LEÏLA BEKHTI, JONATHAN COHEN, JOSÉPHINE JAPY
D’APRÈS UN ROMAN DE ROLAND PEREZ

En 1963, Esther met au monde Roland, petit dernier d’une famille nombreuse. Roland naît avec un pied-bot qui l’empêche de se tenir debout. Contre l’avis de tous, elle promet à son fils qu’il marchera comme les autres et qu’il aura une vie fabuleuse...
« Un vrai parcours de combattant porté d'un bout à l'autre par Leïla Bekhti, formidable mère courage que l'on suit pendant cinquante ans, de 30 à 85 ans, et dont l'énergie et l'optimisme renversent des montagnes. » - Le Point

HORAIRES

18 > 24 juin
jeudi 14h30
samedi 20h45
dimanche 14h30 D

EXTRAITS DE PRESSE
Un tendre hommage à toutes le mères. Abus de Ciné
Un film plein d’humour et de tendresse. Ouest France
Ken Scott soigne sa reconstitution temporelle de Paris tout en donnant la prédominance aux rôles qui participent d'un film touchant, dans lequel plus d'un se reconnaîtront. Non pas par rapport à Sylvie Vartan, mais à sa propre sensibilité, sa culture et ses passions. Franceinfo Culture
Oui, la variété façonne les imaginaires, ses tubes sont d’inépuisables boîtes à émotions et à souvenirs : cette comédie alerte et touchante, parfois trop sucrée, évoque avec sensibilité ce pouvoir quotidien et bienfaisant de la chanson. Sud Ouest
Le grain de folie de cette comédie dramatique, plus touchante que drôle, est apporté par Sylvie Vartan dans son propre rôle. Et, surtout, par Leïla Bekhti, qui, avec une verve bluffante, se métamorphose en mère juive séfarade digne de La vérité si je mens. Télérama
Il y a du Pagnol dans cette fresque familiale dont Jonathan Cohen (Roland Perez, plus âgé) accentue avec discernement les tonalités drôles et émouvantes. La Voix du Nord
On se demande parfois où va le film et si certains épisodes méritaient vraiment d’être racontés, car ce qui nous touche, c’est l’histoire d’amour entre cette mère et son fils. Le Parisien