"Mars Express" prouve la haute tenue de l'animation pour adulte à la française. CinemaTeaser
Visuellement superbe, le film use d’un réalisme épuré qui brouille sans cesse les pistes entre humains et robots, partageant le même humour au milieu de la mitraille. Jérémie Périn impose, par sa science de l’animation, un épique cyberpolar, qui finit sur un bouleversant exode et par deux questions. C’est quoi être un robot ? Et, en miroir, c’est quoi être humain ? Télérama
Si Mars Express emporte d’emblée la conviction quant au monde interconnecté qu’il nous présente, c’est parce qu’il ne cherche aucunement à le justifier, mais le montre directement en train de fonctionner, gourmand en notations modernistes qui s’accompagnent toujours d’une trouvaille plastique. Le Monde
Mars Express s'impose sans conteste comme l'une des plus belles réussites du cinéma de science-fiction made in France, une déclaration d'amour aux plus inoubliables œuvres du genre et qui choisit de se conclure par un grand point d'interrogation. Le Point
En jouant à la fois avec le futur lointain (l’histoire se passe en 2200) et le présent proche, l’ultra-précis et le nébuleux, le film de Jérémie Périn s’assure de toujours tenir debout dans cinquante ans, comme les romans de Clifford D. Simak ou Philip K. Dick. Une réussite. Libération
Le vertige survient autant par la mise en scène - les séquences d’action démentes comme les moments calmes sont filmés avec la même maniaquerie - que par une patte visuelle assez inimitable, à la jonction d’un réalisme glacial et d’exagérations typiques de la japanimation. Après ça, la SF française ne sera plus jamais la même. Première
Après sa série à succès « Lastman », Jérémie Périn réussit à trouver le parfait équilibre entre divertissement et réflexion, à travers un univers futuriste à l’environnement glauque mais visuellement splendide. L'Obs
Une merveille d’animation. Nous avons le coup de cœur pour cette science-fiction cyberpunk mâtinée de polar noir, pas destinée au jeune public, conçue dans cinq studios français dont un à Lille. La Voix du Nord