Brillant, totalement maîtrisé. Le Parisien 
      Une comédie loufoque et tendre, parfaitement maîtrisée, qui révèle le talent de sa jeune réalisatrice. La Croix 
      Une fable initiatique tendre et fruitée, entre comédie et néo-western. Télérama 
      La dernière bonne nouvelle de l’année du côté du cinéma français. Marianne 
      Il y a ici quelque chose de vibrant, de mouvant, de galvanisant, un humanisme sans sentimentalisme, chaleureux, qui procure un plaisir de cinéma intense. Les Inrockuptibles 
      Louise Courvoisier filme son Jura natal pour nous conter une épopée agricole dotée d’un charme fou. Vingt Dieux est un triple récit de première fois, pour sa réalisatrice, ses comédiens et son personnage principal. Moderne et rustique, local et universel, elle réussit son affinage avec brio. Bande à part 
      Vingt dieux nous dit que le monde a mieux à faire que de ressasser les vieilles haines. A l’échelle du village, le film est une ode à la débrouille et à la liberté sexuelle, du moment que personne n’y laisse des plumes. Le Monde 
      N’en déplaise aux esprits chagrins, le cinéma français sait produire des œuvres à la fois exigeantes et populaires, loin des fameux appartements haussmanniens parisiens. Un splendide plan-séquence initial donne d’emblée le ton en promenant la caméra dans une fête rurale. Et déjà pointe l’attachement profond de la cinéaste à son territoire. L'Humanité 
      Réalisé en famille avec ses deux frères, sa mère et sa sœur, Vingt Dieux fait mouche grâce au naturel d'acteurs non professionnels, choisis en casting sauvage. Le Point 
      A l’image de ses chevaux qui s’ébrouent et se lancent au galop au détour d’un plan, ou de cette vache qui semble montrer une voie vers le bonheur simple, Vingt Dieux fait confiance à l’entièreté de l’environnement de Totone pour lui permettre de s’élever, pas socialement mais humainement, pas de beaucoup mais juste assez pour décocher in extremis un franc sourire de vrai héros contemporain. Libération