2 > 8 avril

WHEN THE LIGHT BREAKS (LJOSBROT)

FILM ISLANDAIS DE RÚNAR RÚNARSSON (2024 - 1 H 22)
AVEC ELÍN HALL, KATLA NJÁLSDÓTTIR
FILM D’OUVERTURE - UN CERTAIN REGARD, CANNES 2024

Le jour se lève sur une longue journée d’été en Islande. D’un coucher de soleil à l’autre, Una une jeune étudiante en art, rencontre l’amour, l’amitié, le deuil et la beauté...

HORAIRES

2 > 8 AVRIL
mercredi 16h30 - 20h30
jeudi 21h
mardi 18h30 D

Dossier de presse

LE MOT DES EXPLOITANT·ES
Son amoureux Diddi l’appelle. Una ne répond pas, un peu absente. Pressentiment de la tragédie à venir ? De ce téléphone qui sonnera éternellement dans le vide ? Oui. Des mots, Una en a peu. Elle en reçoit peu. Car les condoléances vont à une autre. Sa douleur, elle ne peut la dire. Car celle-ci n’est pas légitime. Là où les mots manquent, Rúnar Rúnarsson convoque tout ce que le cinéma permet à la place : un double reflet dans une baie, des vues aériennes en miroir, une leçon d’envol par la perspective, une bande-son hypnotique. Des plans qui nous habitent. Longtemps. Regard brouillé, yeux rougis, Elín Hall est Una. Sa peau diaphane pourrait laisser croire à de la fragilité. Elle laisse au contraire - comme le plus délicat des voiles - passer à travers elle les rayons lumineux de ce très beau film.

Philippe ArneraCinéma Pax, Le Pouliguen
https://www.art-et-essai.org

EXTRAITS DE PRESSE
Subtilement mis en scène. Les Inrockuptibles
Un drame lumineux, entre épure et émotion. Télérama
Un magnifique récit d’apprentissage. L'Humanité
Une magnifique méditation sur le deuil et la vie qui continue. La Croix
Sublime sur la forme, très joliment interprété et contant une histoire singulière, ce long-métrage islandais multiplie les audaces et touche au cœur. Le Parisien
le réalisateur Runar Runarsson reste fidèle à une esthétique – il tourne ses films en décor naturel, en un 16 mm dont il apprécie la sensibilité – autant qu’à une éthique : rendre compte, par les moyens du cinéma, de la complexité de l’expérience humaine. Le Monde
La force du film : celle d’installer dans la douleur un temps aussi doux qu’inéluctable, les personnages évoluant presque par le rythme naturel de la mise en scène là où les coups de scénario auraient été si facilement applicables. Cahiers du Cinéma
Empreint d’une profonde humanité, "When the Light breaks", dont l’action se déroule sur une seule journée, parvient sans mal à émouvoir, grâce à une mise en scène d’une extrême pudeur, basée sur ce qu’il faut de symbolique [...] ou de poésie [...], et accompagnée de chœurs aériens aux voix cristallines. Abus de Ciné