27 > 30 DÉCEMBRE

La Chimère

FILM ITALIEN D' ALICE ROHRWACHER | 2023 | 2H10
AVEC JOSH O'CONNOR, CAROL DUARTE, ISABELLA ROSSELLINI
PRIX DES CINÉMAS ART ET ESSAI 2023

De retour dans sa ville du bord de la mer Tyrrhénienne, Arthur retrouve sa bande de Tombaroli, des pilleurs de tombes et de trésors archéologiques. Il a un don qu’il met au service de ses amis brigands : il ressent le vide. Le vide de la terre dans laquelle se trouvent les vestiges d’un monde passé. Le même vide qu’a laissé en lui le souvenir de son amour perdu, Beniamina...

HORAIRES

27 DÉCEMBRE > 2 JANVIER
mercredi 18:30
jeudi 16:15 | 20:45
vendredi 20:45
samedi 18:30 D

Dossier de presse

EXTRAITS DE PRESSE
Inspiré, cultivé, magique… "La Chimère" est un très beau film, magique, habité de fantômes éternels. Les Inrockuptibles
Dans les curieux entrelacs d’une mise en scène qui privilégie l’atmosphère plutôt que l’intrigue, Arthur, centre nerveux de ce doux maelström, devra choisir entre la fidélité à l’esprit des morts ou la profanation, à travers leur legs prodigieux, de la vie elle-même. A ne pas manquer. Le Monde
Le film, peut-être [le] plus beau [d'Alice Rohrwacher], n’a que faire du bon goût ou de la distance. Il choisit d’embrasser, avec ardeur, la candeur de son scénario, celui d’un homme qui recherche son Eurydice, selon une trajectoire tout à fait surprenante, chaque scène semblant éclore différemment de la précédente et s’intégrer peu à peu dans un champ d’herbes folles. Libération
Ce qui frappe, c’est la capacité d’Alice Rohrwacher à alimenter sans cesse de l’imaginaire en pagaille, aussi sensible que profond, avec des éléments rudimentaires. Télérama
La Chimère semble vouloir susciter un rapport ancien aux images, datant d’avant leur prolifération, et faire de chaque plan un événement, renouant ainsi avec la dimension foraine et magique du cinéma. Cahiers du Cinéma
"La Chimère" s'avère une jolie balade, parfois souterraine, aux accents patrimoniaux et pleine de vague à l'âme, dans l'univers toujours très pigmenté qui distingue la cinéaste italienne. Franceinfo Culture
Concluant la trilogie sur le passé de la réalisatrice italienne Alice Rohrwacher, La Chiemère succède aux Merveilles et à Heureux comme Lazzaro et les surpasse de loin. CinemaTeaser
Dans le film d’Alice Rohrwacher, l’amour et les morts vont bras dessus bras dessous parmi les vivants. La réalisatrice italienne y médite dans un mélange fascinant de fantaisie et d’inquiétante étrangeté, de joie piquante et de mélancolie profonde, de bizarrerie et d’incongruité, sur les liens visibles et invisibles, sur le sacré et le profane. Dernières Nouvelles d'Alsace