Ceux qui ont adoré les deux « Deadpool », super-héros trash issu du studio concurrent Marvel, adoreront. Cette version 2021, dix fois meilleure que la précédente, constitue une surprise aussi agréable qu’inattendue. Le Parisien
Sans pitié dans son coup de griffe aux ingérences du gouvernement américain dans la partie latine du continent, tout en jouant avec les éternels clichés sur les guérilleros armés jusqu’aux dents, The Suicide Squad se moque vraiment de tout le monde mais, surtout, il le fait en n’oubliant pas le cinéma. Le Point
Si l’on n’a rien contre le bruit, les explosions, les corps déchiquetés en numérique, ce gros divertissement donne la pêche. Télérama
Derrière ce chahut et ces outrances, on devine aussi chez Gunn une véritable tendresse pour des figures monstrueuses qui sont le plus souvent de grands mal-aimés. Positif
Doté d’un rythme effréné, meilleur encore que la précédente version de David Ayer, voilà un James Gunn de la classe des Gardiens de la galaxie, riche de la caractérisation de ses piteux héros, et qui n’épargne pas la politique des États-Unis ni la perversité de ses services secrets. L'Ecran Fantastique
James Gunn s'approprie et outrepasse les conventions hollywoodiennes pour livrer un jeu de massacre inédit. Grâce à une vraie sincérité et beaucoup de coeur, The Suicide Squad redonne foi en une industrie tout entière. Ecran Large
Ne cherchez plus. Le voici LE film de l'été. The Suicide Squad est un petit miracle comparé au premier film d'il y a cinq ans. James Gunn dynamite les conventions hollywoodiennes, réinvente DC et livre un jeu de massacre tellement jouissif, décomplexé, rock'n'roll, grandiose et attachant. Filmsactu
Ce jeu de massacre décomplexé, qui assume ses revirements improbables (un bel hommage aux comics d’origine) réussit à nous maintenir en haleine. Et l’attachement aux personnages dysfonctionnels y est pour beaucoup. Dernières Nouvelles d'Alsace