Entrecoupée d’images d’archive, l’animation redonne un souffle épique à cette odyssée de l’extrême. Toute en plongée et contreplongées vertigineuses, la mise en scène nous subjugue. L'Obs
Le survol en dirigeable du pôle Nord, en 1926, raconté avec réalisme, poésie et une pointe de satire. Télérama
À la fois poétique, réaliste et politique, Titina parvient à émerveiller tout en faisant rire, sur un pan méconnu de la conquête du toit du monde. La Croix
Accessible à des enfants à partir de 6 ans, Titina aborde l’Histoire de manière intelligente et sans manichéisme. Révélant au passage l’animation limpide et expressive de Kajsa Næss. Les Fiches du Cinéma
Mussolini apparaît comme un crétin belliciste et infantile dans ce Titina, qui ne cherche pas à creuser son contexte - l’Italie fasciste dans l’Europe des extrêmes - mais ambitionne d’être un vrai récit d’aventures, aérien et palpitant, construit (façon Rush ou Le Mans 66) sur le duo formé par deux personnalités aux caractères opposés réunis par l’amour du sport extrême. Première