Outrancier, virtuose, éprouvant… Avec ce morceau de bravoure aux allures de cauchemar éveillé, le surdoué de l’elevated horror réinvente son genre de prédilection. Les Inrockuptibles
Tel un foyer glaçant qu’on aime néanmoins, intimidé, Beau Is Afraid fascine et repousse, dans un même mouvement. Rien ne pourrait nous inciter à le revoir. Mais on n’a qu’une seule envie : y revenir. CinemaTeaser
Rien de monstrueux ici, pas une bête de foire (ni de festivals donc), un simple tour de force totalement prémédité. Première
Aster déploie avec une liberté folle sa prodigieuse imagination et ses propres obsessions, laissant le spectateur pantelant, sonné. Un film à expérimenter autant qu'à voir. Franceinfo Culture
Marqué par l’influence de Kafka, « Beau is Afraid » est un trip drôle et hallucinatoire, où Ari Aster dirige un formidable Joaquin Phoenix. Sud Ouest
"Beau Is Afraid" transcende à la fois la narration, avec ces résurgences du passé, ces incarnations symboliques ou divines, et ces passages d’un monde à l’autre ; le genre, avec le tragique teinté de comique, et l’introspection transfiguré par l’épique ; et l’image même grâce à des procédés esthétiques inédits. Culturopoing.com
Bienvenue dans l’esprit passablement dérangé d’Ari Aster, de retour avec un nouveau cauchemar éveillé, plus radical et surréaliste que les précédents (Hérédité, Midsommar) qui assume sa dimension lynchienne en s’égarant dans les dédales du labyrinthe mental d’un héros rongé par la culpabilité. Le Journal du Dimanche