Les Trois Mousquetaires : D'Artagnan

Du grand spectacle en décors naturels, on en redemande. Le Parisien
L’ensemble montre un entrain suffisamment réjouissant pour qu’on puisse sereinement patienter jusqu’à un opus 2, peut-être plus fort en émotion. La Voix du Nord
Martin Bourboulon reprend avec brio le flambeau du genre cape et épée en s’attaquant au monument d’Alexandre Dumas. Le Point
Portée par la mise en scène enlevée de Martin Bourboulon, cette énième adaptation réussit à donner un nouveau souffle, âpre et fougueux, aux aventures d’un des plus célèbres héros de la littérature française : les combats à l’épée offrent un réalisme spectaculaire, les costumes sont d’un luxe absolu, les dialogues mêlent goût du romanesque et humour bravache. Le Journal du Dimanche
D’Artagnan, Athos, Aramis, Portos sont de retour sur le grand écran. Avec son opulente adaptation du chef-d’œuvre d’Alexandre Dumas, Martin Bourboulon signe un film plutôt convaincant qui s’inscrit dans une longue lignée de fictions inspirées par les œuvres de l’écrivain prolifique. Marianne
Epique, romanesque et ponctuée de très beaux duels, cette nouvelle version, tout en décors naturels, bénéficie des atouts d’une grande production. Franceinfo Culture
Les Trois Mousquetaires d’Alexandre Dumas fournissent aux fines lames Matthieu Delaporte et Alexandre de La Patellière – le duo de la pièce et du film à succès Le Prénom – les lignes d’écriture d’une aventure familiale à l’ancienne, où le romanesque chevauche les intrigues de cour, avec un Louis XIII à la ramasse, interprété avec ironie par Louis Garrel. Dernières Nouvelles d'Alsace
Martin Bourboulon a choisi, pour les scènes de combat, la forme du plan séquence, loin du montage frénétique qui sévit souvent dans ce registre. Il signe une adaptation à la fois respectueuse et moderne, intime et spectaculaire, du roman d’Alexandre Dumas. Sud Ouest
Dans un tel cadre, acteurs et actrices peuvent s’en donner à cœur joie et ils ne s’en privent pas, la réunion de deux générations différentes fonctionnant sans souci. Rolling Stone