La légèreté de la mise en scène introduit une sérieuse dose d’humanité, servie par le jeu fin des acteurs (de Virginie Ledoyen à Jacques Bonnaffé)”, “Jeanne et le garçon formidable n’est pas un film sur lequel on glose. Ses airs nous font respirer. Par les temps qui courent, c’est à ne pas manquer. L'Humanité
Les numéros, chansons, danses s'enchaînent avec une évidence, une joie, une impudeur très toniques qui emportent l’enthousiasme du spectateur, toujours en équilibre entre sensualité et gravité. Les Inrockuptibles
Jeanne et le garçon formidable est une splendide histoire d’amour au temps du sida, colorée, fluide, portée par d’excellents acteurs : Virginie Ledoyen, dont la beauté sensuelle irradie le film, Mathieu Demy et Jacques Bonnafé. Le Monde
Sur le sida, c’est le film que l’on n’attendait plus. Sur l’amour, c’est le film que l’on n’attendait pas. Et c’est une surprise d’autant plus merveilleuse que dans ce film bilingue à plus d’un titre et bicéphale dans sa conception (messieurs Martineau et Ducastel), les maux de la mort sont les mots de l’amour (…) Et que ça soit Virginie Ledoyen qui se colle à ce collage est un bonheur supplémentaire : actrice sensationnelle, libertaire et charnelle, étoile filante, amoureuse de l'amour. Libération
La plus belle réussite des deux auteurs, c’est elle. Cette Jeanne, qu’interprète magnifiquement Virginie Ledoyen. Elle a cette force éclatante, irrésistible, cette légèreté qui se fout de tout, sinon d’exister. Elle traverse en état de grâce une histoire en équilibre fragile entre la comédie grave et la tragédie optimiste. Télérama
Rendons grâce au tandem Ducastel/Martineau d’avoir ramené au cinéma cette joie fêlée, cet élan de la comédie musicale dont le secret n’est plus perdu. Cahiers du Cinéma
La joliesse de l’ensemble passe aussi par les acteurs : Virginie Ledoyen, comme toujours délicieuse à regarder et entendre (bien qu’elle soit doublée pour les chansons), Mathieu Demy, pierrot charmeur qui n’en rajoute jamais ; mais aussi Jacques Bonnaffé, une fois de plus impec ; et Valérie Bonneton, dont la bouille et le bagout apportent de bonnes bouffées d’air gai. Première
Cette histoire tragi-comique sait mêler le trivial malicieux à la beauté poétique, et sait émouvoir sans une once de mièvrerie. Les Fiches du Cinéma
Jeanne et le garçon formidable" est à mi-chemin entre le féerique des "Demoiselles de Rochefort" et l’ancrage dans le social des "Parapluies de Cherbourg" ou d’"Une chambre en ville”. Le Journal du Dimanche