Avec « Jeanne du Barry », présenté en ouverture du Festival de Cannes ce mardi soir et qui sort en même temps dans les salles, Maïwenn réussit un film classique mais très contemporain et totalement habité. Le Parisien
Un film en forme de plaidoyer et aux allures de tragi-comédie, tourné en 35 mm, qu’on croirait éclairé aux chandelles. Loin de sa zone de confort, Maïwenn montre qu’elle a, comme Jeanne, de l’aplomb. Elle ose même le classicisme. L'Obs
Maïwenn n’aime rien tant que raconter sa propre vie. Cet égocentrisme revendiqué peut se révéler agaçant… ou passionnant quand elle ose un pas de côté pour trouver son reflet dans le miroir du cinéma. En témoigne cet authentique film romanesque, très belle évocation d’une favorite qui n’aura eu de cesse d’échapper à sa condition. La Voix du Nord
Le film frappe droit au cœur par son romantisme tragique, son lyrisme et ses dialogues ciselés qui véhiculent une farouche modernité. Le Journal du Dimanche
Parfaitement "maïwennesque": parfois maladroit, appuyé, sans doute trop en empathie avec son sujet, mais la réalisatrice nous emporte et nous émeut dans cette célébration de la liberté. Belle révérence à l’irrévérence. Sud Ouest
Maïwenn surprend dans un film d’époque et dépoussière le genre, dans un biopic en costumes et perruques à la cour du roi Louis XV, sous les ors du château de Versailles. Dernières Nouvelles d'Alsace
En Louis XV, Johnny Depp est royalement aimable et mélancolique. En premier valet de chambre, Benjamin Lavernhe lui vole presque la vedette. Son duo complice avec Maïwenn est exquis (...). Le Dauphiné Libéré