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Florence aime Julien que son mari, un homme riche et redoutable, a pris dans ses affaires. Ils préméditent ensemble un crime parfait. L’amant se fabrique un alibi imparable, il tue le mari et maquille son crime en suicide. Mais il se trouve bloqué dans l’ascenseur…
Sur une partition culte de Miles Davis, ce premier long métrage de Louis Malle est un coup de maître, illuminé par l’interprétation de Jeanne Moreau et Maurice Ronet. AvoirAlire
Impossible de résister à ce classique qui frappe par son élégance et sa précision. JDD
On trouve par ailleurs dans ce film (Ascenseur pour l’échafaud) la peinture de l'hypocrisie de la bourgeoisie, qui deviendra un des thèmes récurrents de l'auteur, ainsi que le besoin de déranger sans pour autant condamner qui le caractérisera par la suite. L'Humanité
Quant au casting, quelle brochette ! Maurice Ronet, assassin en puissance coincé dans un ascenseur ; Lino Ventura en commissaire hargneux ; Félix Marten, l’alcoolique de service ; Elga Andersen, créature de rêve qui a inspiré tous les cinéphiles des sixties ; et, à peine présent, Jean-Claude Brialy en joueur d’échecs… Mais c’est évidemment Jeanne Moreau qui est la muse du film. L'Obs
À propos de Louis Malle
cinéma de contestation, mais cinéma de lucidité. Le Monde
Que peut-on espérer de Malle ? Que du bien. Première
Il faut absolument (re)découvrir Louis Malle L’OBS
Carrière hors-normes sans équivalent dans le cinéma français. Revus & Corrigés
Eclectique, inclassable, l’un des plus grands réalisateurs du cinéma français. Ecran Noir
Trop doué, trop désinvolte, il avait choqué ses contemporains. Vogue