Sélectionné à Cannes en 2020, le premier long métrage de la réalisatrice Charlène Favier, à la sortie deux fois reportée, arrive enfin dans les salles. Il déploie avec finesse un récit d’emprise du point de vue de la victime. L'Humanité
Sidération, emprise : un premier film maîtrisé, à teneur autobiographique. Télérama
Un très beau film sur un sujet fort. Le Parisien
Evitant le film à thèse, Charlène Favier s’inspire de son expérience pour raconter une relation toxique. Le Monde
Incroyable Noée Abita, qui exprime avec justesse le séisme psychologique d’une victime qu’on croit faite pour l’adversité mais qui n’a pas bien sûr toutes les armes pour affronter l’indicible. La Voix du Nord
Un premier film intense et maîtrisé, qui décrit avec finesse les mécanismes de l’emprise pour mieux en faire ressentir toute la complexité. La Croix
La maîtrise du récit - entièrement vécu à travers le regard de Liz - comme de la mise en scène est ici impressionnante. Première
Avec Slalom, Charlène Favier signe un premier film puissant sur les violences sexuelles dans le sport. La beauté de la mise en scène sert un drame palpitant, à la fois brûlant et glaçant, porté par la lumineuse Noée Abita et l’impeccable Jérémie Renier. Les Fiches du Cinéma