Un grand film. Le Parisien
Après La La Land, Ryan Gosling enfile le scaphandre de Neil Armstrong avec une froideur lunaire fascinante. Une biographie distanciée et troublante. Télérama
Damien Chazelle, le réalisateur de « La La Land », change de registre et signe une spectaculaire épopée, à la fois intime et universelle. La Voix du Nord
Il y a une simplicité nette dans le propos, une attention aux sensations et une ferveur qui en font le prix, parce que toutes sont motivées par une seule équation ? : croire dans le spectaculaire pour se tenir au plus près des émotions. Cahiers du Cinéma
Damien Chazelle et Ryan Gosling transforment la conquête de l’espace en odyssée intimiste d’une tristesse cosmique. Première
Plus que la célébration d'un exploit national, Damien Chazelle traite d'une réussite humaine exceptionnelle sur fond de drame conjugal, sans craindre d'effleurer le mélo. Côté divertissement, le contrat est parfaitement rempli. Positif
Hymne funèbre au dépassement de soi, "First Man" est porté par le lyrisme lo-fi de Chazelle et par son goût du documentaire : des méthodes de la Nasa à la polémique sur le budget alloué à la conquête spatiale en plein mouvement des droits civiques, c’est toute une époque qui revit en arrière-plan. Le Nouvel Observateur
Contrairement à Nolan ou à Cuarón qui utilisaient l’IMAX pour donner à voir de vastes scènes d’ensemble, gorgées de détails, Chazelle fait le choix contre-intuitif de tout filmer caméra à l’épaule, très proche des visages et des corps mis à rude épreuve (…) dans un 35 mm granuleux et impressionniste. Les Inrockuptibles